Ace moment-lĂ , je n'Ă©tais pas encore avec Perrie et j'avais bu, je n'avais qu'une envie : m'amuser. Je ne savais pas encore ce qu'il m'attendait et si je pouvais retourner en arriĂšre, je le ferais. - Mec, qu'est-ce qu'il te prend ? Liam me sortit de mes pensĂ©es, il s'assit Ă  mes cĂŽtĂ©s et essuya une larme qui coulait sur ma joue. Inconsciemment, je m'Ă©tais mis Ă  IlĂ©tait temps car je dois la laisser Ă  ma mĂšre demain et aprĂšs-demain pour aller Ă  un congrĂšs (enfin je serais quand mĂȘme lĂ  le matin et le soir). Sinon elle recommence Ă  dormir mieux. 22h-7h30-10h30 depuis 2 jours avec une sieste de 2h30 environ l'aprĂšs-midi depuis vendredi dernier (sauf ce we car quand il y a du monde elle ne veut pas dormir donc les Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Dans le cas d’une personne saine, qui n’est pas diagnostiquĂ©e comme un pervers narcissique, l’insulte fait suite Ă  un sentiment de colĂšre. "Une personne Ă©nervĂ©e ne maĂźtrise pas ses Ă©motions, elle n’est pas dans le rationnel. Il devient alors difficile de communiquer avec elle", rappelle Kenza faire "Dans un premier temps, il vaut mieux prendre de la distance avec les propos prononcĂ©s par son conjoint." Vous pouvez vous Ă©loigner de lui voire changer de piĂšce, si vous avez du mal Ă  garder votre calme ou si les mots sont trop sur le mĂȘme ton que son partenaire risque de faire plus de mal que de bien. Insulter Ă  son tour son conjoint, c’est rentrer dans son jeu au risque de rompre la communication."Il est difficile de faire prendre conscience que ses paroles sont dĂ©placĂ©es si on agit comme lui", rappelle la psychologue. La bonne attitude est de rester intĂšgre pour montre "l’exemple" et rĂ©ussir Ă  faire un effet "miroir". Cela ne veut pas dire se laisser faire ni subir la situation mais permettre une prise de conscience chez l'autre et faciliter la communication communication est la base du couple. Certaines personnes ne se rendent pas compte qu’elles vont trop loin. Or, "si des paroles nous blessent, il ne faut pas hĂ©siter Ă  en parler Ă  son conjoint pour lui en faire prendre conscience" explique la ça ne marche pas si votre partenaire se rend compte qu’il va trop loin mais qu’il ne peut s’empĂȘcher de recommencer, une thĂ©rapie de couple peut ĂȘtre recommandĂ©e afin de dĂ©samorcer le malaise. Egalement, si vous n’arrivez pas Ă  lui faire prendre conscience que ses propos sont blessants, en parler avec une personne extĂ©rieure pourra lui permettre d'en prendre fuyez pas la confrontation, elle est essentielle pour avancerSi dans un premier temps, fuir la confrontation permet de passer plus rapidement Ă  autre chose, Ă  long terme cette attitude peut ĂȘtre prĂ©judiciable au couple. En clair "si on ne dĂ©samorce pas le problĂšme, il ne va pas se rĂ©gler de lui-mĂȘme et risque mĂȘme de s’amplifier" prĂ©vient Kenza Rafi. "Insulter son partenaire n’est jamais bon, car cela dĂ©montre une forme de mĂ©pris pour l’autre. Le risque est de voir sa relation de couple se dĂ©tĂ©riorer."À noter Un conjoint qui insulte devant les proches, les amis ou les enfants, leur donne une autorisation implicite de le faire Ă  leur vous sentez pas obligĂ© de rester"L’insulte est le dĂ©but de la violence conjugale", rappelle la psychologue Kenza Rafi. Une insulte vise Ă  blesser l’autre, Ă  lui faire perdre confiance en lui afin de le dominer. C’est une forme de rejet de son partenaire. "Comme on ne l’accepte pas comme il est, une relation malsaine s’instaure."Cependant, pour la spĂ©cialiste "mĂȘme si on aime une personne, il ne faut pas tout accepter et surtout si cela nous fait du mal". "Une fois qu’on a tout essayĂ© pour sauver son couple chercher Ă  comprendre l’autre, lui parler, lui proposer une thĂ©rapie de couple
, il faut oser quitter la personne qui nous blesse."Ne vous rabaissez pasSe respecter l’un l’autre est primordial dans un couple. Et le respect passe par l’estime de soi comme celle de l’autre."Si on se sent coupable parce qu’on est insultĂ©, c’est qu’on ne s’aime pas assez, explique Kenza Rafi. La premiĂšre Ă©tape est de retrouver confiance en soi pour pouvoir comprendre qu'il n'est pas normal d'endurer la maltraitance de l'autre."Des insultes au lit, acceptables ou non ?"La premiĂšre question Ă  se poser est Qu’est-ce que je peux accepter ?"", conseille la psychologue Kenza Rafi. Dans l’intimitĂ©, pour donner du piment Ă  la relation, les deux conjoints peuvent se mettre d’accord pour prononcer certains mots par exemple. Il faut cependant que chacun dĂ©finisse ses limites dĂ©finir un cadre Le couple doit prendre un moment pour en dicuter et se poser les bonnes questions. Qu’est-ce que je peux dire ? Qu’est-ce que je ne peux pas dire ? A quel moment je peux les dire ?, doit savoir jusqu’oĂč l’autre est prĂȘt Ă  aller. Aucun des deux conjoints ne doit se sentir rabaissĂ© ou humiliĂ©. Si c’est le cas pour l’un des deux, il doit pouvoir dire stop Ă  tout ne veut pas dire insulte"Insulter son conjoint, c’est toucher Ă  son intĂ©gritĂ©", explique la psychologue Kenza Rafi. L’insulte est un dĂ©nigrement de l’autre, un signal qui montre qu’on ne l’accepte pas comme il est. La prononcer comme l’entendre n’est jamais bon pour l’estime de soi-mĂȘme, ni pour celle de l’ personne peut ressentir de la colĂšre pour une quelconque raison et ne pas arriver Ă  la formuler. "Ce sentiment est tout Ă  fait normal et on peut en parler avec son partenaire, indique la spĂ©cialiste. En revanche, cette colĂšre ne doit pas se manifester sous forme d’insulte susceptible de blesser son conjoint."A nuancer L’insulte n’est pas nĂ©cessairement un nom d’oiseau. Cela peut ĂȘtre un mot qui ne sonne pas mĂ©chamment, mais qui est prononcĂ© avec l’intention de rabaisser l’autre. Par exemple, "tu es vraiment qu’une grosse !" dit sur un ton blessant n’est pas la mĂȘme chose que "chĂ©ri, tu devrais faire attention Ă  ce que tu manges parce que j’ai l’impression que tu as un peu grossi." Ils ne vous apprennent pas Ă  baiser comme ça au lycĂ©e, mais elles apprennent Was this page helpful? Yes No Performance & security by Cloudflare You do not have access to site owner may have set restrictions that prevent you from accessing the site. Contact the site owner for access or try loading the page access policies of a site define which visits are allowed. Your current visit is not allowed according to those the site owner can change site access policies. Ray ID 738f6c7758b38e6b 738f6c7758b38e6b Copy Falls die Wiedergabe nicht in KĂŒrze beginnt, empfehlen wir dir, das GerĂ€t neu zu die du dir ansiehst, werden möglicherweise zum TV-Wiedergabeverlauf hinzugefĂŒgt und können sich damit auf deine TV-Empfehlungen auswirken. Melde dich auf einem Computer in YouTube an, um das zu dem Versuch, Informationen zum Teilen abzurufen, ist ein Fehler aufgetreten. Versuche es bitte spĂ€ter noch / 1342 ‱ VollstĂ€ndiges Video ansehen LiveCopywrite Chiarashine Photography, LLC Isabell Lin Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusĂ© les cookies associĂ©s aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix . Je parle de la tendance actuelle qui voit les femmes asiatiques en couple avec des Blancs. La perpĂ©tuation du fĂ©tichisme asiatique."Oh non, encore un couple avec une asiatique et un Blanc", ai-je grognĂ© en lĂąchant la main de mon dĂ©teste quand je fais ça. Et moi aussi, vraiment. Je sais que c'est cruel et autodestructeur mais, dĂšs que je vois un autre couple mixte du mĂȘme type que nous, une partie de moi s'Ă©teint. Nous vivons Ă  San Francisco, et ça arrive hyper souvent. Dans ces moments-lĂ , j'aimerais que nous ne soyons pas en couple, qu'il soit mon meilleur ami homosexuel ou que nous ayons fondĂ© une start-up ensemble, que ce soit lui, l'Asiatique, que les gens ne sachent pas vraiment d'oĂč nous venons, ou que je puisse me fondre dans le bitume du trottoir, devenir un ver de terre, libre de frĂ©quenter n'importe qui sans se soucier du regard de la honte n'est pas le sentiment le plus sage ni le plus mature, mais elle est indubitablement lĂ . "ArrĂȘtez!" a-t-elle envie de crier Ă  ces couples. "Vous ne voyez pas que plus on est nombreux, plus c'est nul?"Je parle de la tendance actuelle qui voit les femmes asiatiques en couple avec des Blancs. La perpĂ©tuation du fĂ©tichisme premiĂšre fois que j'ai entendu ce terme, fĂ©tichisme asiatique, j'Ă©tais la seule Chinoise de mon Ă©cole. Mes camarades de classe Ă©taient ensemble depuis le cours Ă©lĂ©mentaire. Ils s'Ă©changeaient des mots d'amour et des compilations d'Alanis Morissette. J'ai attendu longtemps ma cassette de Jagged Little Pill , mais je n'ai jamais rien reçu en CM2. Ni en 6 e , ni en 5 e , ni en 4 e .Finalement, pendant la 3 e , un garçon trĂšs sportif et populaire m'a envoyĂ© un mail pour la Saint-Valentin, qui avait pour sujet "NE MONTRE ÇA À PERSONNE." En message, il avait Ă©crit un poĂšme vraiment naze pour savoir si je voulais sortir avec lui. Ma seule rĂ©action a Ă©tĂ© de me dire "Ouah, je plais Ă  quelqu'un!" Sa grammaire laissait Ă  dĂ©sirer mais j'ai dit par nos camarades que j'ai appris le terme fĂ©tichisme asiatique. Des amis m'ont dit qu'il en Ă©tait atteint depuis un moment. N'ayant pour ma part entendu parler que de fĂ©tichisme des pieds, j'ai vite compris ce que cela impliquait l'attirance pour une personne d'origine asiatique avait quelque chose de bizarre et d'excentrique. DĂ©couvrir trĂšs jeune que quelqu'un vous aime par fĂ©tichisme, c'est apprendre qu'on est Ă©trange, anormale. J'ai cru que pour ĂȘtre attirĂ© par moi, il fallait ĂȘtre pervers. J'ai commencĂ© Ă  considĂ©rer les Asiatiques comme des femmes moins dĂ©sirables, et Ă  repousser tous ceux Ă  qui je si je suis vaguement sortie avec ce garçon, il disait beaucoup de choses qui me dĂ©goĂ»taient. Mes amis ne s'Ă©taient pas trompĂ©s sur son fĂ©tichisme. "Je trouve que les Asiatiques sont moins superficielles que les autres", m'a-t-il dit un pensais que ça s'amĂ©liorerait Ă  la fac, mais dĂšs qu'un garçon non-asiatique se montrait intĂ©ressĂ©, des bruits circulaient "Il paraĂźt qu'il avait une copine mĂ©tisse asiatique au lycĂ©e", "Il a pris des cours de japonais au semestre dernier", "Il adore les sushis. Genre, vraiment beaucoup."C'Ă©tait parfois compliquĂ© de repĂ©rer les signaux d'alerte, mais les compliments dĂ©placĂ©s Ă©taient de bons indicateurs. "Tous les Blancs et les Asiats sont jaloux que je sois avec toi", m'a dit mon premier copain de fac. MĂȘme Ă  l'Ă©poque, je me suis demandĂ© pourquoi il prĂ©supposait que je ne pouvais plaire qu'Ă  des Blancs ou des Asiatiques. À cause de mes origines, bien sĂ»r. Les compliments racistes montrent que les gens ne vous voient pas comme un individu, mais comme appartenant Ă  un m'a fallu un bon moment pour le comprendre. Et puis, au cours de mes Ă©tudes, j'ai rencontrĂ© mon premier copain asiatique, qui est devenu mon mari. Malheureusement, il est aussi devenu mon ex-mari. AprĂšs cette relation, j'ai frĂ©quentĂ© un autre Asiatique. Autant dire que j'ai passĂ© dix ans sans jamais penser aux Blancs ou au fĂ©tichisme que j'ai rencontrĂ© mon fiancĂ©, j'y pense tous les est entrĂ© dans ma vie Ă  un moment oĂč j'avais dĂ©cidĂ© de renoncer aux hommes. J'avais passĂ© toute ma vie d'adulte en couple , et je voulais prendre du temps pour moi. "CĂ©libataire pour cinq ans!" avais-je annoncĂ©. C'Ă©tait mon but, et j'en Ă©tais fiĂšre. Onze mois plus tard, il s'est pointĂ© chez venait pour une soirĂ©e que j'organisais, et il ne m'a pas draguĂ©e. Il m'a posĂ© des questions, et a Ă©coutĂ© mes rĂ©ponses. On s'est dĂ©couvert de nombreux points communs mĂȘme universitĂ©, mĂȘmes Ă©tudes, gauchers tous les deux, passionnĂ©s d'Ă©criture, on ne buvait pas d'alcool et on ne supportait ni l'un ni l'autre les plats Ă©picĂ©s. Une amie que l'on adorait tous les deux Ă©tait malade Ă  l'Ă©poque, et on allait ensemble lui rendre visite Ă  l'hĂŽpital. Un soir, on s'est retrouvĂ©s seuls tous les deux. Je lui ai parlĂ© de mon projet de rester cĂ©libataire pendant longtemps, en lui disant qu'on ne pourrait ĂȘtre que des amis. Il m'a rĂ©pondu qu'il avait sincĂšrement envie de plus, mais qu'il respecterait mes choix. Il n'a jamais forcĂ© les choses, mais on a continuĂ© Ă  se voir, Ă  se poser des questions et Ă  Ă©couter les rĂ©ponses de l'autre. On ne s'ennuyait que j'envisageais de renoncer Ă  mon boycott des relations, mes vieux fantĂŽmes sont rĂ©apparus. "Il a toujours frĂ©quentĂ© des femmes asiatiques." "Tu sais combien de copines asiatiques il a eues?" "Il est peut-ĂȘtre simplement fĂ©tichiste."Je l'ai pris entre quatre yeux et je lui en ai parlĂ©."Je n'avais jamais vu ça sous cet angle!" a-t-il insistĂ©. "J'ai grandi Ă  Cupertino, et beaucoup de mes camarades Ă©taient Asiatiques. Toutes mes copines n'Ă©taient pas asiatiques ... mais c'est vrai que la plupart l'Ă©taient. Je n'y avais jamais pensĂ©."J'ai levĂ© les yeux au ciel. Les hommes blancs ont la chance de ne pas avoir Ă  penser au racisme dans leur vie quotidienne. Moi, je commençais Ă  en faire une obsession. Je ne pouvais pas sortir avec un fĂ©tichiste des Asiatiques, parce que ça m'aurait rendue complice d'un modĂšle profondĂ©ment ancrĂ© dans la violence et la colonisation. Je m'efforçais d'ĂȘtre une femme progressiste et indĂ©pendante, et un petit ami fĂ©tichiste des Asiatiques n'avait pas sa place dans ma il ne m'avait jamais fait un seul compliment sur mes origines ni manquĂ© de respect. Je savais que c'Ă©tait une bonne personne, qui cherchait tous les jours Ă  s'amĂ©liorer. C'est le partenaire que je voulais, le genre d'homme difficile Ă  suis donc revenue vers lui en lui donnant du travail Ă  faire. "Tu peux rationaliser tes relations passĂ©es autant que tu veux", lui ai-je dit un soir au lit au passage, est-ce que les Asiatiques sont douĂ©es pour les conversations sur l'oreiller? Parce que je trouve que je dĂ©chire. "Mais tu ne peux pas nier que ça puisse paraĂźtre bizarre. Surtout, mets-toi Ă  la place des filles avec qui tu es sorti. Imagine que tu ne sois qu'un homme parmi d'autres qui te ressemblent en tous points, comme si vous Ă©tiez interchangeables. C'est trĂšs dĂ©valorisant."D'ordinaire sur la dĂ©fensive serait-ce un trait de caractĂšre propre aux hommes blancs sexys?, il a pris ma demande trĂšs au sĂ©rieux. Il m'a posĂ© des questions et Ă©coutĂ© mes rĂ©ponses. On a discutĂ© non seulement des dynamiques qui existent entre les femmes asiatiques et les hommes blancs, mais Ă©galement de l'image injustement nĂ©gative des hommes asiatiques, et du retour de bĂąton qu'ont subi des personnalitĂ©s telles que Constance Wu et Chloe Kim pour ĂȘtre sorties avec des Blancs. C'Ă©tait une discussion gĂȘnante, mais qui dure depuis des nous sommes encore ensemble, c'est parce que je sais qu'il m'aide Ă  gĂ©rer cette gĂȘne. Si nous rencontrons trois couples homme blanc-femme asiatique Ă  la suite et que je demande "SĂ©rieux, c'est quoi, ce truc?" il ne feint pas de ne pas avoir remarquĂ©. Il fait un effort pour ne pas me laisser seule dans les aspects embarrassants de notre amour, et je fais un effort pour ne pas lĂącher sa main. Nous ne sommes pas parfaits. Mais quand la honte se dissipe, je me dis que j'aime ce qu'on est tous les blog, publiĂ© sur le HuffPost amĂ©ricain , a Ă©tĂ© traduit par Typhaine Lecoq-Thual pour Fast ForWord .Inscrivez-vous Ă  la newsletter quotidienne du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et les meilleurs articles du jour En vous inscrivant Ă  ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisĂ©e par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription Ă  la newsletter. ConformĂ©ment Ă  la loi du 06/01/1978 modifiĂ©e et au RĂšglement europĂ©en n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bĂ©nĂ©ficiez d’un droit d’accĂšs, de modification, de portabilitĂ©, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprĂšs de dpo . Pour toute information complĂ©mentaire ou rĂ©clamation CNIL MENU Principal Guides des finances Guides des finances RĂ©ponses Guides des finances Comment rĂ©pondez-vous Ă  un baiser volant? CatĂ©gories Populaires Guides des finances Guides des finances Guides des finances RĂ©ponses Vous pouvez rĂ©pondre avec un baiser volant et un sourire. C'est assez courant en Italie. Les filles le font juste comme un adieu charmant. Il n'a pas de signification doucement avec seulement deux doigts sous le menton, ou seulement deux doigts ou un doigt et un pouce sur sa joue. Plus que cela semble puissant. 2 Gardez-le lĂ©ger. Les images de baisers les plus intimes et les plus fantaisistes sont celles oĂč vos lĂšvres ne sont qu'Ă  quelques centimĂštres l'une de l' un baiser Ă  quelqu'un est une façon de montrer de l'affection au moment de dire au revoir. Si vous ĂȘtes trop loin pour leur donner un baiser physique, vous pouvez embrasser un ami ou un ĂȘtre cher dans les airs », et ils comprendront que vous envoyez de l'amour. embrasser la paume de sa main et Ă©loigner rapidement la main de sa bouche dans un mouvement de la main vers quelqu'un Elle m'a jetĂ© un baiser et m'a dit au winky-kissy jetant un baiserEmoji Visage Bisous 😘 SIGNIFICATION Il a des sentiments pour vous. Nous savons tous que les gars sont mauvais avec leurs Ă©motions
 C'est gĂȘnant pour eux d'exprimer leur amour. Alors ils aiment se la jouer cool. C'est exactement ce qu'un gars fait quand il vous envoie l'emoji Kissy que ça veut dire quand un mec te tient la tĂȘte ? Cela signifie que le gars veut toute votre attention; il veut s'assurer que vous ĂȘtes clairement absorbĂ© par le baiser qu'il vous donne. Il veut vous montrer de l'amour et de l'affection avec ce genre de baiser parce que vous comptez beaucoup pour lui. C'est une bonne chose!Se bĂ©coter! Mwah ! Le visage winky-kissy jetant un baiser emoji, ou visage embrassant, est principalement utilisĂ© pour exprimer une affection romantique ou une apprĂ©ciation pour quelqu'un ou quelque chose."L'acte d'envoyer des baisers est nĂ© en MĂ©sopotamie comme un moyen de gagner la faveur des dieux", Ă©crit-il. "En Perse, un homme de rang Ă©gal Ă©tait accueilli avec un baiser sur les lĂšvres et un de rang lĂ©gĂšrement infĂ©rieur avec un baiser sur la joue." Plus la partie du corps embrassĂ©e est basse, plus le rang de celui qui embrasse est preuve la plus ancienne d'un comportement de type baiser provient de textes hindous vĂ©diques sanskrits datant d'il y a plus de 3 500 ans. S'embrasser Ă©tait dĂ©crit comme inhalant l'Ăąme de l'autre. En revanche, les hiĂ©roglyphes Ă©gyptiens reprĂ©sentent des personnes proches les unes des autres plutĂŽt que de serrer les donc quelques signes qu'il veut un deuxiĂšme baiser
 et il le veut bientĂŽt !Le baiser des mains est un geste indiquant la courtoisie, la politesse, le respect, l'admiration ou mĂȘme la dĂ©votion d'une personne envers une autre. Cependant, les lĂšvres ne touchent pas rĂ©ellement la main dans la tradition moderne, en particulier dans un environnement formel oĂč toute nuance intime ou romantique pourrait ĂȘtre trĂšs amis font beaucoup de choses pour se montrer de l'affection, comme s'embrasser sur les joues, le front ou se faire des cĂąlins ou tout autre type de contact physique non sexuel. En ce qui concerne le fait de s'embrasser sur les lĂšvres, cela montre une forme d'intimitĂ©, mais si vous ĂȘtes Ă  l'aise avec cela, c'est tout Ă  fait la main d'un ancien ou d'une personnalitĂ© estimĂ©e avant de mettre la main sur le front est un geste de respect dans la culture turque. Un homme s'est approchĂ© de Davutoğlu pour le fĂ©liciter peu aprĂšs le discours et lui a embrassĂ© la main Ă  un moment apparent d'inattention de la part du Premier ministre Turcs ont l'habitude d'enlever leurs chaussures avant d'entrer chez eux. Ne soyez pas gĂȘnĂ© si vous rendez visite Ă  une famille turque et voyez dans l'entrĂ©e de la maison ou mĂȘme devant la porte principale beaucoup de chaussures ! La raison est bonne et simple la propretĂ© !Par rapport Ă  la langue turque, il existe de nombreux mots communs entre les deux langues. En ce qui concerne la grammaire, le turc est un peu difficile mais plus facile que l'arabe. L'arabe est beaucoup plus difficile. pour apprendre l'arabe vous apprenez d'abord une version obsolĂšte puis vous apprenez un dialecte , donc , en d'autres termes , vous apprenez 2 langues !Pourquoi le turc n'est-il pas difficile Ă  apprendre ? La langue turque utilise l'alphabet latin et elle est phonĂ©tique. En d'autres termes, vous prononcez les mots turcs exactement comme vous les Ă©crivez. Ainsi, la premiĂšre Ă©tape dans l'apprentissage du turc devrait ĂȘtre d'apprendre correctement l'alphabet et les © Copyright. All right reserved. - 2022 Il baise la fille et la mĂšre. Quelle chance !Une mĂšre cĂ©libataire a besoin de sexeUne brunette au corps magnifique apprĂ©cie le bon sexe Mar 15 Sep 2020 - 1655Cache-cache au pays de Mickey Alvario & AutumnAutumn n’en revenait pas de devoir se lever si tĂŽt un samedi matin alors qu’elle Ă©tait en congĂ©, mais, la demoiselle n’avait pas rĂ©ellement le choix. Son chef d’équipe avait organisĂ© cette journĂ©e Ă  Disneyland dans l’espoir de ressouder leur Ă©quipe. Car, les trois derniĂšres semaines avaient Ă©tĂ© riches en disputes, bagarres, d'erreurs et plaintes de patients. Bien Ă©videmment quand rien n’allait au sein d'un groupe, le travail en pĂątissait. Autumn n’était pas rĂ©ellement concernĂ©e car elle n’avait de problĂšme avec aucun d’entre eux. Mais elle faisait partie du groupe, elle devait ĂȘtre solidaire et puis le patron pensait qu’elle pouvait ĂȘtre d’un rĂ©el renfort. Elle, qui, d’ordinaire avait le don d’apaiser les choses, de dire ce qui n’allait pas et mĂȘme si elle le faisait s’en prendre de gants cela avait toujours marchĂ©. Car mĂȘme si la vĂ©ritĂ© est difficile Ă  entendre, elle n’en reste pas moins la vĂ©ritĂ© et l’entendre, la confronter Ă  souvent du bon. VoilĂ  pourquoi son rĂ©veil sonnait Ă  7h30 du matin. VoilĂ  pourquoi elle se levait en rechignant. Ce matin, elle n’irait pas courir, elle se dirigeait donc naturellement dans la salle de bain oĂč elle prit sa douche, puis, elle s’habilla, enfilant un petit ensemble culotte et soutien-gorge en soie blanche, un jean bleu dĂ©lavĂ© lĂ©gĂšrement trouĂ© car elle dĂ©testait les jeans avec deux Ă©normes trous aux niveaux des genoux qui donnaient l’impression de s’ĂȘtre pris une grosse gamelle. Ensuite elle passa un petit haut vert et blanc qui se nouait dans le cou et laissait apparaĂźtre de temps Ă  autre son nombril. Elle choisit pour l'occasion de porter sa paire de baskets noires. Elle s’aspergea d’un peu de Lolita Lempicka, se coiffa et prĂ©fĂ©ra laisser ses cheveux dĂ©tachĂ©s. Ayant quelques minutes devant elle, elle bu un cafĂ© et mangea une brioche mais pas le temps de finir, elle entendit klaxonner dans la rue et en vĂ©rifiant par la fenĂȘtre elle aperçu son chef et une partie de l’équipe dans un mini-bus. Elle ouvrit la fenĂȘtre, leur fit un signe, puis se dirigea vers la porte d’entrĂ©e. Au passage, elle attrapa un sac-Ă -dos et ses clĂ©s, puis elle referma la porte. Le trajet fut un peu long et surtout trĂšs calme, elle aurait bien aimĂ© un peu de musique pour dĂ©tendre l’atmosphĂšre mais que voulez-vous. Monsieur le chef avait dĂ©cidĂ© que le silence Ă©tait propice aux discussions ce qui eut pour rĂ©sultat soit un silence de mort, soit un brouhaha incommensurable avec cris et disputes qui lui dĂ©clencha un mal de crĂąne horrible. Elle fut plus que ravi de descendre de ce vĂ©hicule. Et 
 de faire la queue. GĂ©nial je sens que cette journĂ©e va ĂȘtre MERD
veilleuse. Elle se reprit rapidement en apercevant le regard de son patron posĂ© sur elle. Autumn lui lança un large sourire et comme une gamine elle leva les pouces. Genre GĂ©nial ! Trop cool ! C’est top, on va s’éclater. Mais son patron n’était pas dupe, il savait pertinemment ce qu’elle pensait et il la gratifia d’une lĂ©gĂšre grimace un petit sourire pincĂ©, tout en levant les yeux au ciel. Avançant peu Ă  peu, mais surtout lentement, trĂšs lentement, Autumn regardait autour d’elle. Quand son regard se posa sur une file, un peu plus loin, sur sa droite. Une silhouette lui semblait commune. Elle se mit sur la pointe des pieds comme pour prendre de la hauteur. Elle ne le voyait pas bien. Mais 
 il semblait qu’il s’agissait bien de lui. Encore ! Ce n’était pas quelqu’un qu’elle connaissait mais 
 au contraire 
 un inconnu. Un jeune homme qu’elle ne cessait de retrouver sur sa route. La premiĂšre fois, elle l’avait aperçu Ă  l’hĂŽpital. Puis la seconde fois ce fut 
 Hum 
 Ă  la terrasse d’un cafĂ© et la troisiĂšme fois de nouveau Ă  l’hĂŽpital, puis une autre fois dans la rue Ă  la sortie d’un cinĂ©ma et une autre fois dans un bar. Ils ne cessaient de se croiser, leurs regards se croisaient parfois, il est arrivĂ© une ou de fois qu’ils se sourient oĂč se fassent des signes mais jamais ils ne s’étaient parlĂ©. Elle ne pouvait pas croire qu’il Ă©tait lĂ  lui aussi. C’était impossible ! Sa file avança, elle en fit de mĂȘme, son collĂšgue lui posa une question, elle le regarda pour lui rĂ©pondre et quand elle se tourna de nouveau. L’inconnu avait disparu. Ce devait ĂȘtre une erreur. Elle s’était forcĂ©ment trompĂ©e. Elle soupira et secoua la tĂȘte tout en s’insultant intĂ©rieurement. *Tu es une idiote ma pauv’fille. Et une folle par dessus le marchĂ© car tu as des visions maintenant. *ENFIN 
 AprĂšs de longues, trĂšs longues minutes qui lui parurent interminables. Notre infirmiĂšre et son groupe de collĂšgues finirent enfin par franchir l’entrĂ©e du parc. Leur chef, leur remettait les plans du parc, il pensait que s’était ridicule de tous rester ensemble, il proposait donc de faire trois groupes de quatre. Mais, Autumn n’écoutait rien. Que voulez-vous ?! Elle avait beau penser qu’elle Ă©tait idiote et qu’elle avait rĂȘvĂ© elle ne pouvait s’empĂȘcher de regarder autour d’ tu sera avec Gabi, Jac
. Autumn tu es avec nous ? AUTUMN !!!??? EUH oui ?!!! Oui prĂ©sente Monsieur ! Tu t’fous de moi ? Tu es tout sauf prĂ©sente 
 tu es carrĂ©ment Ă  mille lieux de lĂ . Concentre-toi ma belle. Alors, premiĂšrement, c’n’est pas un exercice d’incendie donc 
. On se calme, pas besoin d’ĂȘtre si sĂ©rieux. DeuxiĂšmement, on n’est plus des gosses, je pense qu’on peut se gĂ©rer. Et troisiĂšmement, si tu m’appelles encore ma belle, il va te falloir une paire de bĂ©quille pour pouvoir marcher. Elle finit sa phrase avec un lĂ©ger sourire. Autumn avait du caractĂšre, et elle avait toujours sa façon Ă  elle de dire les choses, toujours franchement mais assez souvent avec une dose d’humour ou de sarcasme pour que la pilule passe mieux. Allez les enfants 
 que ceux qui veulent faire partie de mon groupe lĂšve la main ! Elle choisit trois personnes parmi ceux qui avait levĂ© la main et d’un signe de l'index elle les invitait Ă  la suivre. Allons nous amuser !!! On se retrouve pour le dĂ©jeuner. Elle fit un salut de la main autres membres. Et s’engouffra dans la foule. Elle n’avait aucune idĂ©e de par quoi commencer, elle se laissa guider par ses compagnons. Oooooh de la barbapapaaaa !!! Elle se dirigea vers le stand qui pour le moment n’avait aucun client puis elle commanda une Ă©norme barbapapa. C’était le matin mais elle s’en fichait, elle adorait trop ça pour attendre. Elle regardait le pro faire, et en avait l’eau Ă  la bouche. Quand 
. Bordel 
 c’est bien lui 
 j’suis pas folle 
 hein ?!!! Le gars, il Ă©tait lĂ , au loin, droit devant, dans la foule. Elle le suivait des yeux, sans pouvoir bouger. Vite 
 vite 
. viiiteee Elle pressait le propriĂ©taire du stand qui ne savait pas du tout ce qui lui prenait. Il faisait de son mieux pour rĂ©ussir sa barbapapa. Il la lui tendit, elle l’attrapa vivement et le paya sans attendre la monnaie. Mais de nouveau, il avait disparu. Elle tourna sur elle-mĂȘme tout en se demandant si finalement son cerveau n’avait pas des bugs. " Une tumeur ? Nooon..... dĂ©conne pas ! " Et ....De toute façon si ça avait Ă©tĂ© lui. Qu'aurait-elle fait ? Lui aurait-elle sauter dessus ? Lui aurait-elle parlĂ© ? Et de quoi ? Non, probablement pas, elle ne l'avait jamais fait jusque lĂ . Mais elle voulait en avoir le coeur net. Ëtre certaine que ce n'Ă©tait pas une vision, son esprit qui lui jouait des tours. Elle aperçu ses amis et les rejoignit, ils Ă©taient assis en train de boire un cafĂ©. Jackie qui la connaissait bien lui avait commander un cafĂ© long avec un sucre et demi. Elle le remercia et prit place autour de la table, tout en mangeant de sa barbapapa. Elle se rĂ©galait, elle en proposa Ă  ses collĂšgues qui parurent ravis. J'adore ce truc, son odeur, son goĂ»t, ça me rappelle mon enfance. Elle en mangea mais sans faire exprĂšs un morceau se colla sur son nez et un autre sur son menton. Ce qui ne manqua pas de faire rire ses amis. Mar 15 Sep 2020 - 1907 Cache-cache au pays de Mickey Hanwwww mais qu'est-ce que je fous lĂ  ! »La plainte qui sortait de ma bouche voulait tout dire. Depuis que nous Ă©tions arrivĂ©, je n'arrĂȘtais pas. Il fallait dire que ça m'agaçait, ce genre d'excurtions, mĂȘme Ă  Disney. Les files d'attentes, c'est ce que je dĂ©testais le plus. Le monde, encore, ça allait, mais attendre une heure pour deux minutes de plaisir, ça m'agaçait profondĂ©ment. Pourtant, j'Ă©tais quelqu'un de patient. Surtout lorsqu'il s'agissait d'obtenir ce que je voulais. Mais lĂ , c'Ă©tait impossible. ArrĂȘte de te plaindre Alvi. C'est pas si terrible. T'es vraiment qu'un sale gamin. »Je roulais des yeux derriĂšre mes lunettes de soleil. Pourquoi j'avais acceptĂ© de les suivre au juste ? Ah oui, parce que je n'Ă©tais encore jamais venu ici. Et je devais avouer que ça faisait partie de mes rĂȘves de gosse, un peu. Je n'avais encore jamais eu l'occasion, mĂȘme gosse, de dĂ©couvrir le parc. Ce n'Ă©tait certainement pas dans la tĂȘte de mes parents de dĂ©penser du fric dans des choses aussi inutiles Ă  leur yeux, en plus du fait qu'il aurait fallu prendre un avion pour venir jusqu'ici du Chili. Alors, oui, j'avais sautĂ© sur l'occasion, lorsque Matt et Alex m'avaient proposĂ© de les accompagner. Je tenais un peu la chandelle entre eux, mais ça, je m'en fichais. Ce qui comptais, c'Ă©tait le parc. Je m'Ă©tais Ă©merveillĂ© tel un gosse dĂšs que j'avais apperçu l'entrĂ©e du parc. Mes yeux trainaient partout. Je voulais tout voir, tout dĂ©couvrir. Mais ma bonne humeur c'Ă©tait vite essoufflĂ©e, lorsque nous avions dĂ©jĂ  dĂ» faire la file dĂšs l'entrĂ©e. C'Ă©tait ça, la rĂ©alitĂ© du parc. Beaucoup d'attente. Beaucoup trop pour il Ă©tait aussi propable que mon Ă©tat de nerfs Ă©tait dĂ» Ă  mon manque, qui commençait Ă  se faire sentir. Confortablement installĂ© dans mon siĂšge, Ă  l'une des nombreuses terrasses, je poussais avec mon pied pour me mettre en Ă©quilibre et avoir une meilleure vue de ce qui se passait autour de nous. Un groupe de filles un peu plus loin attira mon attention, gloussant beaucoup trop pour que ça ne se remarque pas. Mais mon attention dĂ©via rapidement sur une jeune femme juste derriĂšre, assise avec ses amis. Est-ce que c'Ă©tait elle ? Mon inconnue ? Mes lunettes se baissĂšrent sur mon nez alors que je stabilisais ma chaise avec mes pieds. Oui, c'Ă©tait elle. Son visage, je l'avais assez souvent vu ses derniĂšres semaines pour ne plus qu'il y ai de mal entendu. Je la reconnais entre mille, Ă  prĂ©sent. Elle Ă©tait lĂ , avec sa barbapapa Ă  la main, distribuant sa part Ă  ses amis. Mon sourire planait sur mes lippes, jusqu'Ă  se faire plus franc lorsque le dĂ©lice sucrĂ© se dĂ©posa sur son nez et son menton. C'Ă©tait... Alvi ! »Je sursautais vivement, manquant de tomber de ma chaise au passage. Quoi ?! »Mes deux amis Ă©taient debout devant moi, prĂȘts Ă  partir. J'avais visiblement manquĂ© un Ă©pisode, trop occupĂ© Ă  mater mon inconnue de loin, visiblement. Viens, on y va. Les manĂšges nous attendent. » Allez-y, je vous rejoins. » Non Alvi. T'arriveras pas Ă  nous retrouver et tu le sais. »Je roulais Ă  nouveau des yeux en laissant ma tĂȘte choir en arriĂšre. Je tournais la tĂȘte vers mon inconnue, qui Ă©videmment, venait de disparaitre. Une moue frustrĂ©e apparu sur mon visage. Fuck. Encore ratĂ©. Ça va, j'arrive. »Mains dans les poches, je me relevais pour quitter ma chaise Ă  mon tour et rejoindre mes potes, non sans lancer des regards autour de moi dans l'espoir de la revoir. Ça faisait des semaines, que nous nous croisions un peu partout Ă  Plus ou moins depuis que j'avais emmĂ©nager, en fait. A l'hĂŽpital, Ă  la sortie d'un bar, etc. Et jamais encore, je n'avais rĂ©ussi Ă  l'aborder, ce qui Ă©tait franchement un exploit me concernant. D'habitude, je n'hĂ©sitais pas. Je fonçais sans me soucier du reste, mais avec elle, c'Ă©tait... DiffĂ©rent. Je ne savais pas expliquer pourquoi. Elle dĂ©gageais un truc, quelque chose qui faisait que contrairement Ă  toutes les nanas qui croisaient ma route, je n'avais pas envie de me jeter dessus. Enfin, pas comme d'habitude. Mais, aprĂšs que l'on se soit croisĂ©s aussi souvent, ça commençait Ă  me dĂ©manger furieusement. Et, elle Ă©tait lĂ . A nouveau. Je me promettais de tenter quelque chose, cette fois. D'aller lui parler, de briser la glace autrement que par un signe de tĂȘte ou un sourire au loin. Il le fallait. Maison hantĂ©e, nous voilĂ  ! »Rien qu'Ă  l'appellation de ce nom, je sautillais, retrouvant ma bonne humeur en glissant mes bras sur les Ă©paules de mes potes pour les faire avancer plus vite. Un bon frisson, dans le noir complet, j'avais hĂąte ! c DΛNDELION Mar 15 Sep 2020 - 2004Jackie avait un sourire amusĂ© accrochĂ© Ă  ses lĂšvres, il prit une serviette en papier pour essuyer la barbapapa sur le visage de sa collĂšgue et amie. Il aurait aimĂ© plus mais Autumn avait Ă©tĂ© trĂšs claire avec lui elle ne voulait pas d'une relation sĂ©rieuse et surtout elle ne mĂ©langeait pas travail et plaisir. Alors ils n'Ă©taient que des amis ce qui ne lui suffisait pas mais il le supportait dans l'espoir qu'elle change d'avis, qu'elle finisse par craquer pour lui. Et si on dĂ©gustait nos cafĂ©s tout en faisant la queue au Big Thunder Mountain ? Hein ?! Hein !!! Charlie Ă©tait surexcitĂ©, Autumn ne pu rĂ©sister et explosa de rire, il avait l'air d'un enfant et elle trouvait cela si touchant. Finalement cette sortie n'Ă©tait pas une si mauvaise chose. Pour le moment elle passait du bon temps. Elle attrapa son cafĂ©, se leva, et se plaça Ă  cĂŽtĂ© de Charlie. Allez !!! Allez on y va ???!!! Elle agissait comme une gamine, de bonne humeur, et comme souvent elle ne se prenait pas au sĂ©rieux, elle avait envie de s'amuser tout simplement. Les autres Ă©clatĂšrent de rire et se levĂšrent. De toute façon ils n'avait pas trop le choix. Tous les gens autour les regardaient bizarrement. Certains cependant Ă©taient trĂšs amusĂ©s et ne semblaient pas les ... je dĂ©teste rĂ©ellement faire la queue !!! Par chance, elle n'Ă©tait pas si longue que cela. Au bout de 30 minutes s'Ă©taient enfin Ă  leur tour de monter Ă  bord du train fou. Autumn commençait Ă  ĂȘtre excitĂ©e, elle adorait les montagnes russes. Elle aimait se faire peur, les sensations qui l'envahissaient, son coeur qui battaient la chamade, son souffle et sa respiration qui se coupaient de temps Ă  autres. Aaaaaaah La jeune femme se mit Ă  crier quand la peur s'enveloppa, cette sensation Ă©tait magique, elle levait les bras et criait de joie plus que de peur. Quoique ... C'Ă©tait si enivrant. Mais dĂ©jĂ  l'attraction touchait Ă  sa fin. Quel dommage. Elle descendait du cĂŽtĂ© gauche. Alors que du cĂŽtĂ© droit les suivants commençaient Ă  monter. Elle rejoignait le groupe, sortait du jeu et repassait devant l'attraction pour aller Ă  la suivante. Les autres se battaient pour le prochain choix quand .... soudain ... sur sa droite, elle le vit. Elle s'arrĂȘta nette et fit deux trois pas en arriĂšre. Se bloqua, puis pivota. Il Ă©tait lĂ . Devant elle. Finalement tu existes, tu n'es pas une crĂ©ation de mon esprit. Elle croisait son regard. Elle en revenait pas qu'ils soient encore au mĂȘme endroit, au mĂȘme moment. Et si prĂšs. Elle n'en revenait pas non plus qu'il existe rĂ©ellement car Ă  force elle avait finit par douter de son Ă©tat mental. Un sourire amusĂ© et heureux se dessina sur son visage. Attachez-vous le train fou va partir Autumn .... Autumn mais qu'est-ce que tu fais ? Allez vient !! Le train dĂ©marrait, Jackie attrapait Autumn par le bras et l'embarquait avec lui, alors qu'elle continuait Ă  donner son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. Le bruit du train Ă©tait trop fort, il s'Ă©loignait, et elle aussi mais dans la direction opposĂ©e. Pourquoi lui avoir donnĂ© son prĂ©nom, son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone ? Elle en avait aucune idĂ©e, s'Ă©tait venu naturellement. Tu connais ce gars ?! Lui demanda surpris Jackie. Oui ... euh ... non ... seulement un inconnu. Et de nouveau un sourire naissait sur ses lĂšvres. Alors oĂč va-t-on ? Autumn Ă©tait toute lĂ©gĂšre, amusĂ©e, heureuse et tant d'autres choses encore. Elle ne pouvait pas expliquer ce qui lui arrivait, ce qu'elle ressentait. S'Ă©tait Ă©trange, nouveau mais agrĂ©able. ils semblaient devoir se croiser, alors elle le reverrait sĂ»rement. Au splash mountain. Mar 15 Sep 2020 - 2122 Cache-cache au pays de MickeyLa maison hantĂ©e nous tandit les bras. A nouveau joyeux comme un gosse, je courrais mĂȘme jusqu'Ă  l'entrĂ©e, pillant juste derriĂšre la derniĂšre personne Ă  faire la queue. De l'attente, encore de l'attente, toujours de l'attente. Seulement cette fois, ça ne rĂ©ussi pas Ă  faire fondre ma bonne humeur. Nous nous engouffrions dans le manĂšge, qui nous guida Ă  travers les piĂšces savamment dĂ©corĂ©es de la maison. Ça ne faisait pas vraiment peur, mais je me surpris Ă  frissonner et sursauter une fois ou deux avant que la sortie ne se profile. Une fois dehors, attendant les garçons, je souris de toutes mes dents. C'Ă©tait trop cool ! »Ils m'offrirent un regard amusĂ© alors que je glissais une cigarette entre mes lĂšvres, prĂȘt Ă  les suivre jusqu'Ă  la prochaine attraction. On tente le Jungle Cruise ? » T'as vu la file ? Nan, allons plutĂŽt au Big Thunder Mountain ! » C'est parti ! »Toujours avec autant d'en train, j'ouvrais notre marche, tirant sur ma clope de temps en temps. Mes yeux regardaient partout, s'imprĂšgnaient de toute l'ambiance semblant hors du temps propre au parc, tout en ne pouvant s'empĂȘcher de la chercher Ă  nouveau. Si elle Ă©tait lĂ , nous finirions bien par nous croiser, non ? L'attraction se profila devant nous. Une file d'attente de plus. Par chance, celle-ci Ă©tait moins longue. Nous y Ă©tions dĂ©jĂ  ! Le train remplit se prĂ©senta Ă  nous. Les portes s'ouvrirent pour nous laisser prendre place Ă  notre tour. J'Ă©tais tout excitĂ©, souriant Ă  n'en plus finir en riant Ă  gorge dĂ©ployĂ©e avec mes amis lorsque soudain, on attira mon attention. C'Ă©tait elle. Je me levais du siĂšge sans pouvoir m'en extirper complĂštement alors qu'elle s'approchait jusqu'Ă  ma hauteur. Putain, pourquoi maintenant ? Ici ? Je captais Ă  moitiĂ© les mots qui sortaient de sa bouche Ă  cause du brouaha ambiant, me contentant d'un grand sourire alors qu'elle semblait rĂ©aliser que non, je n'Ă©tais pas une illusion sortie de son imagination. Incroyable n'est-ce pas ? »Sans me dĂ©partir de mon sourire, j'appris enfin son nom. Autumn, qu'elle cria Ă  travers l'annonce du dĂ©part du train. Alvario ! » criais-je pour me faire dicta son numĂ©ro, mais un gars sorti de nulle part vint la tirer brusquement par le bras. Monsieur asseyez-vous ! »On me tira Ă  mon tour, m'obligeant Ă  m'asseoir alors que j'essayais d'entendre la suite de son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. C'Ă©tait peine perdue. C'Ă©tait quoi ce bordel Alvi ? »Je me tournais vers mes amis, qui me dĂ©visageait tous deux d'un drĂŽle d'air alors que je haussais les Ă©paules. C'Ă©tait... Une inconnue. »Le regard qu'ils me lançÚrent Ă  cet instant me prouva que je n'Ă©tais pas crĂ©dible. Pourtant, il n'y avait rien de plus vrai. Je leur offris un sourire innocent avant que l'attraction ne dĂ©marre pour de bon. Autumn. J'avais au moins son attraction ci Ă©tait bien diffĂ©rente, Ă  m'en soulever le coeur et provoquer mon euphorie alors que je criais Ă  plein poumons. C'Ă©tait bien trop court Ă  mon goĂ»t, mais le visage d'Autumn me revint vite en mĂ©moire, m'arrachant Ă  ma frustration. J'essayais tant bien que mal de me souvenir les chiffres qu'elle m'avait dictĂ©e, mais c'Ă©tait impossible. Comment la retrouver ? Eh, ça va Alvi ? » Ça va ouais... » C'est la meuf de tout Ă  l'heure qui te met dans cet Ă©tat ? »Je relevais les yeux vers Matt, qui m'offrait un large sourire, fier de lui. Ouais. Ça fait des semaines qu'on se croisent comme ça. C'est la premiĂšre fois qu'on arrive Ă  se parler. J'ai que son prĂ©nom, ça me frustre vous avez pas idĂ©e ! »La main d'Alex atterit dans mon dos dans un soutien amicale. Quoi, toi, tu lui as pas encore sauter dessus ? Je suis impressionnĂ© ! »Je le gratifiais d'une grimace en lui lançant un coup de coude dans les cĂŽtes alors que nous reprenions notre marche Ă  travers le parc. Ah ah, trĂšs drĂŽle ! » Allez ça va, on va la retrouver, ton inconnue » »Je relevais la tĂȘte. Il avait raison, bien sĂ»r que j'allais la retrouver, restait simplement Ă  savoir quand. Et je fus déçu, aprĂšs avoir enchainĂ© les attractions pendant plus de deux heures, de ne pas retrouver sa trace. Peut-ĂȘtre qu'elle Ă©tait dĂ©jĂ  repartie ? La dĂ©ception avait presque remplacer la frustration qui s'agitait dans mon ventre depuis que j'avais appris son nom. Je me rappelais les traits de son visage, si proche du mien alors que je faisais une pause dans les toilettes pour faire taire mon manque qui commençait Ă  me rendre pale et nerveux. La poudre dans le nez, le sourire ravageur, je resortais pour retrouver mes amis une fois de plus. Et maintenant ? » Y'a un spectacle dans 10 min. » Super ! Faisons ça alors ! »Je leur emboĂźtais le pas. Au fil des heures, j'avais perdu le rĂ©flexe de la chercher Ă  travers la foule. Je voulais arrĂȘter de me prendre la tĂȘte avec ça et profiter du reste de la journĂ©e comme il se devait. Si nous nous recroisions, tant mieux, sinon, tant baskets tracĂšrent mon chemin Ă  travers le public qui venait regarder le spectacle, tout comme nous. Nous nous enfoncions Ă  travers la foule pour avoir une bonne place. Pas trop prĂšs, mais pas trop loin non plus. Rendu plus guilleret par la poudre, j'avançais, Ă  nouveau tout excitĂ©, sautillant d'une jambe Ă  l'autre en attendant que cela commence. Je me tournais vers mes amis, une question primordiale brĂ»lant mes lĂšvres. Au fait... »Ma phrase n'eu jamais de fin, perdue dans le vent face au baiser qu'il s'Ă©changeait devant mes yeux. Ouep. Ma bouche se referma avant que je ne pince mes lĂšvres, me dĂ©tournant aussitĂŽt de la scĂšne qu'ils m'offraient pour plonger dans mon verre de biĂšre. Et puis, je la vis. Je relevais la tĂȘte de ma boisson, la dĂ©visageant de loin pour ĂȘtre sĂ»r de mon coup. Les cheveux longs chĂątains, le visage angulaire, le sourire craquant. Pas d'erreur, c'Ă©tait bien ne pris mĂȘme pas le temps de prĂ©venir mes amis. Mes pas me guidĂšrent jusqu'Ă  elle Ă  travers la foule. Je poussais et m'excusais auprĂšs de ceux que je dĂ©rangeais, jusqu'Ă  ce qu'elle soit Ă  portĂ©e de main. Le spectacle commença Ă  cet instant prĂ©cis. DiscrĂštement, je m'arrĂȘtais juste Ă  cĂŽtĂ© d'elle, l'air de rien, le sourire aux lĂšvres, les yeux rivĂ©s vers la scĂšne extĂ©rieure qui nous offrait sons et lumiĂšres. Tu n'es pas facile Ă  trouver, tu le sais ? »Je dĂ©tournais le regard des danseurs qui venaient d'apparaitre sur scĂšne pour la regarder, elle. C'Ă©tait bien elle. Autumn. c DΛNDELION Mer 16 Sep 2020 - 1213Autumn et Jackie avaient rejoint le reste du groupe, ils se dirigeaient ensemble vers le Splash Mountain et Jackie ne pouvait quitter la jeune femme du regard. Le sourire lĂ©ger qu'elle affichait le rendait dingue. Pourquoi semblait-elle si lĂ©gĂšre et heureuse ? Pourquoi ne voulait-elle pas lui dire qui Ă©tait ce gars et d'oĂč elle le connaissait ? *Un inconnu ? tu parles !!* se disait-il. Et une fois arrivĂ©e Ă  l'attraction, bien entendu, ils durent faire la queue. Mais pour une fois, Autumn ne se plaignait pas. Elle repensait au jeune homme, il n'Ă©tait plus rĂ©ellement un inconnu car Ă  prĂ©sent elle connaissait son prĂ©nom Alvario. Mais surtout il Ă©tait bien rĂ©el. En mĂȘme temps, malgrĂ© les doutes qui l'avaient envahi ces derniĂšres semaines, au fond elle, ancrĂ© en elle, elle savait qu'il existait pour de vrai, qu'il n'Ă©tait pas une crĂ©ation de son esprit. Soudain, elle laissa Ă©chapper un petit rire, se remĂ©morant son attitude, comment avait-elle pu ? Pensait-elle intĂ©rieurement. Quand ...Comment tu as pu ? Pourquoi tu as donnĂ© ton numĂ©ro Ă  un parfait inconnu. Ses pensĂ©es faisaient Ă©chos. Jackie se manifestait enfin. Cela faisait un moment qu'elle sentait son regard posĂ© sur elle, et sa frustration, sa jalousie mĂȘme sortait de tous les pores de sa peau. Que pouvait-elle lui rĂ©pondre ? Non, elle ne connaissait pas cet homme. Et non ce n'Ă©tait pas son genre de filer son numĂ©ro Ă  n'importe qui. Elle ne savait que lui rĂ©torquer car elle-mĂȘme ne comprenait pas son propre sais pas .... C'est arrivĂ© comme ça ! L'instinct !Elle ne pouvait pas dire Ă  Jackie qu'elle croisait cet homme depuis des semaines. Qu'il Ă©tait partout oĂč elle allait et qu'Ă  force son visage Ă©tait incrustĂ© dans son esprit. Et que trĂšs souvent il lui revenait en mĂ©moire et qu'elle le cherchait parfois. Jackie ne pouvait comprendre cela, il paniquerait tout de suite. Il penserait que cet homme Ă©tait surement dangereux, qu'il devait la suivre, peut-ĂȘtre Ă©tait-il un harceleur. Autumn, ne pouvait l'expliquer mais tout au fond elle, elle savait que rien de tout cela Ă©tait possible. Le splash mountain Ă©tait une chouette attraction, trĂšs rafraĂźchissante, ce qu'elle su apprĂ©cier avec la chaleur qu'il faisait. Il Ă©tait bientĂŽt midi quand ils descendirent de l'attraction. Le tĂ©lĂ©phone d'Autumn se mit Ă  sonner. *C'est pas possible!!!* Pensa-t-elle en se dĂ©pĂȘchant d'attraper son ?! et non ce n'Ă©tait pas lui, ce n'Ă©tait que James, son chef. C'est James, OĂč vous ĂȘtes ?En mĂȘme temps, elle doutait bien qu'Alvario n'ait pas eut la possibilitĂ© de noter son numĂ©ro voire mĂȘme de pouvoir l'entendre entiĂšrement. James la contactait pour les informer qu'il avait retrouvĂ© presque tout le monde et qu'ils les attendaient pour ... je transmets aux autres. On se retrouvent lĂ -bas. Autumn raccrocha, on pouvait lire la dĂ©ception sur son visage mais seul Jackie semblait comprendre pourquoi. Ce qui l'agaça un peu plus. Elle expliqua Ă  la bande que James et les autres les attendaient dans un des restaurant du parc. Et tous les quatre prirent le chemin qui les mĂšnerait au fameux restaurant. Ils savourĂšrent un bon repas. Puis James dĂ©cida de changer les groupes. IdĂ©e que Jackie n'apprĂ©cia guĂšre car il souhaitait rester avec Autumn. Il espĂ©rait ainsi la tenir Ă  l'oeil et Ă©viter tout nouvel incident. Mais qu'il se rassure, le reste de la journĂ©e se passa normalement. Ce fut une suite de longues heures d'attentes pour seulement quelques minutes de joie, de rire ou de cris. Mais rien de plus. Elle ne le croisa plus une seule fois et commença Ă  penser qu'il Ă©tait rentrer chez lui. Mais elle ne dĂ©sespĂ©rait pas pour autant car ce n'Ă©tait pas son genre et aussi et surtout parce qu'elle Ă©tait bien dĂ©cidĂ©e Ă  s'amuser avec ses collĂšgues. De nouveau son tĂ©lĂ©phone sonna, c'Ă©tait Ă  nouveau James. Comme il Ă©tait dĂ©jĂ  tard et qu'ils n'allaient pas tarder Ă  rentrer, il avait dĂ©cidĂ© que tout le monde se retrouve au spectacle. Autumn et son groupe trouvĂšrent que c'Ă©tait une excellente idĂ©e. Sur place, il s'agissait de nouveau de faire la queue, de piĂ©tiner, de se frayer un chemin parmi la foule. Mais en plus il fallait retrouver le reste de l'Ă©quipe. Rien n'Ă©tait plus compliquĂ© que cela. Il y avait tellement de monde mais ... d'un coup. AUTUMN !!!Elle entendit crier son prĂ©nom, suivit d'un sifflement, elle fut surprise, elle chercha dans toutes les directions. Et... aperçu Jackie qui surpassait les spectateurs. Il agitait le bras dans tous les sens. L'espace d'une seconde elle pensa que peut-ĂȘtre ... mais non ... elle rĂ©pondit Ă  son collĂšgue d'un signe de la main droite et difficilement elle le rejoignit, ainsi que les autres. Une musique magnifique et entraĂźnante s'Ă©levait, emportant totalement l'infirmiĂšre qui sentit son coeur battre un peu plus fort et tout son corps Ă©taient soudain envahit de frissons, qui ... ne firent qu'augmenter quand .... Tu n'es pas facile Ă  trouver, tu le sais ? »Cette voix, cette phrase ... son coeur fit un bond dans sa poitrine. Elle Ă©tait envahit par tout un tas de sensations Ă  commencer par la surprise, la joie mais aussi l'amusement. Un sourire lumineux Ă©claira soudain son visage alors qu'elle tournait la tĂȘte en direction de cette voix qu'elle avait entendu un peu plus tĂŽt dans la matinĂ©e. Son sourire se fit encore plus large et amusĂ©e. Elle se mordit la lĂšvre infĂ©rieure avant de lui rĂ©pondre. C'est parce qu'il ne faut pas me chercher. C'est ainsi que ça marche entre nous. depuis le premier jour. C'est le destin qui nous met sur la route de l' plongeait son regard dans le sien. Il Ă©tait si proche pour une fois qu'elle pouvait le toucher si elle le souhaitait. Mais sincĂšrement elle ne savait que faire. Il est vrai qu'elle aussi l'avait cherchĂ© du regard un bon moment et depuis si longtemps qu'elle avait fini par abandonner de nombreuses fois. Et Ă  chaque fois qu'elle laissait tomber, il rĂ©apparaissait, comme pour jouer, la tenter. Mais dĂ©sormais, il Ă©tait lĂ , face Ă  elle. Elle le regardait attentivement, ses cheveux Ă©taient lĂ©gĂšrement longs bruns et bouclĂ©s. Ses yeux Ă©taient trĂšs brillants, il Ă©manait d'eux une lueur Ă  la fois sexy et espiĂšgle. D'ailleurs, elle ne pouvait l'expliquer mais il Ă©manait de lui quelque chose d'Ă©trange ou plutĂŽt de particulier. Quelque chose qu'elle ne parvenait pas Ă  dĂ©terminer mais qui faisait de lui quelqu'un de diffĂ©rent, diffĂ©rent de tous les hommes qu'elle avait frĂ©quentĂ©. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce le jeu de cache-cache qu'il y avait entre eux et qui les liait d'une façon particuliĂšre. Ou peut-ĂȘtre Ă©tait-ce simplement qu'il Ă©tait un illustre inconnu, qu'elle semblait d'une certaine maniĂšre connaĂźtre, sans, en rĂ©alitĂ© ne rien savoir de lui. Je crois que c'est toi qui a gagnĂ© ! Tu vas devoir choisir ton prix. Elle Ă©tait toujours dans l'amusement. Elle ne savait absolument pas de quoi elle parlait ou ce qu'elle semblait lui proposer. Mais ça lui Ă©tait venu comme ça. Comme quand elle lui avait filer son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone. De toute façon avec lui, rien n'Ă©tait normal, rien n'Ă©tait contrĂŽlĂ©, calculĂ©, voulut. Tout venait comme ça. Mer 16 Sep 2020 - 1302 Cache-cache au pays de MickeyElle Ă©tait lĂ , finalement. Son visage se tourna vers moi alors que je portais un petit sourire mutin sur mes lippes. Enfin. Depuis combien de temps est-ce que nous nous cherchions au juste ? Trop longtemps, si l'on Ă©coutait les battements de mon coeur qui semblait Ă  prĂ©sent s'apaiser, maintenant que je l'avais retrouvĂ©e. A prĂ©sent, j'avais le loisir de la dĂ©tailler comme je le voulais. Elle Ă©tait rĂ©ellement ravissante, Autumn. Avec ses fines lĂšvres et son regard presque noir. Loin des standards, loin des midinettes qui croisaient habituellement ma route et finissaient dans mon lit avant d'avoir su dire ouf. C'Ă©tait diffĂ©rent. Elle Ă©tait diffĂ©rente. J'accrochais son sourire qui se fit plus franc, ces dents qui s'imprimĂšrent sur sa lĂšvre juste avant qu'elle ne me rĂ©ponde, que je retrouve enfin sa sourire s'illumina, amusĂ© par sa rĂ©partie. Je quittais briĂšvement son visage pour admirer le spectacle qui prenait de l'ampleur devant nous. Elle avait raison, finalement. C'est lorsque j'avais arrĂȘtĂ© de la chercher qu'elle m'Ă©tait apparue, comme Ă  chaque fois que nous nous croisions. C'est ainsi que ça marche entre nous. Elle rĂ©sumait trĂšs bien la situation. MĂȘme si je ne croyais pas au destin. A nouveau, je l'admirais, alors qu'elle me dĂ©taillait sans gĂšne, apprĂ©ciant visiblement ce qu'elle avait sous les yeux. Je me retins franchement de taper la pose pour ses beaux yeux. Autumn ne paraissait pas le genre de nana Ă  ĂȘtre facilement impressionnable par ce genre de choses. Au pire, cela pouvait la faire rire, mais j'avais beaucoup trop peur de la faire fuir, maintenant que j'avais rĂ©ussi Ă  la retrouver, pour de bon cette nouveau, sa voix se fit entendre Ă  travers la musique du spectacle qui nous Ă©tait offert. Une proposition. Une centaine d'idĂ©es perverses me traversĂšrent la tĂȘte, que je repoussais aussitĂŽt. Pas de ça avec elle, non. Je ne savais pas me l'expliquer, mais ce n'Ă©tait pas ce que je voulais. Je ne voulais pas gĂącher ce lien Ă©trange que nous avions crĂ©er entre nous pour une partie de jambes en l'air dans un coin, pour ne plus jamais la croiser aprĂšs. Ce qui Ă©tait trĂšs Ă©trange, me connaissant. Je pris le temps de la rĂ©flexion, les yeux vissĂ©s sur les danseurs qui faisaient leur show devant nos yeux, oubliant mĂȘme Ă  quel point j'avais envie de monter sur scĂšne moi aussi. Je mordillais ma lĂšvre, incertain, avant d'Ă  nouveau me tourner vers elle. Viens. »J'attrapais sa main pour la tirer Ă  ma suite, guidĂ© par mon instinct sans me poser de questions. Ma biĂšre se fracassa au sol sans que j'y fasse attention alors que je l'embarquais dans une course folle Ă  travers la foule. Tant pis pour le spectacle. Tant pis pour le reste du monde. Mes jambes s'emballaient Ă  travers le parc sous mon rire espiĂšgle, jusqu'Ă  s'arrĂȘter devant une attraction particuliĂšre. Impossible de me rappeler de son nom. C'Ă©tait un labyrinthe de miroirs. Une façon de continuer notre jeu de cache-cache Ă  notre maniĂšre. La tĂȘte levĂ©e sur la dĂ©coration de l'entrĂ©e, je me tournais vers elle pour lui offrir un sourire Ă©tincellant, puis l'entrainait Ă  l'intĂ©rieur. c DΛNDELION Jeu 17 Sep 2020 - 1728Pourquoi n'arrivait-elle pas Ă  dĂ©coller son regard de lui. Lui qui parvenait Ă  profiter du spectacle. Rhaaa c'Ă©tait pas son genre. Mais ... tout venait de lui ! Elle n'avait jamais Ă©tĂ© ainsi avant. Mais depuis son apparition dans sa vie elle avait l'impression de se conduire comme une adolescente. Bon d'accord, parfois, il lui arrivait d'ĂȘtre immature mais lĂ  ... ça frĂŽlait la gaminerie.*ArrĂȘte enfin ... tu m'fais honte ... qu'est-ce qui te prends ?*Peut-ĂȘtre parce qu'elle voulait graver son visage dans son esprit. Ou peut-ĂȘtre avait-elle peut qu'il ne disparaisse encore, tout d'un coup, alors elle en profitait. Ou peut-ĂȘtre ni croyait elle pas encore. Peut-ĂȘtre Ă©tait-il un rĂȘve qu'elle faisait Ă©veillĂ© pour pallier Ă  son ennui et sa vie si triste. Elle dĂ©posa alors sa main sur son bras, il Ă©tait rĂ©el. Il Ă©tait vraiment lĂ . La regard du jeune homme se posa Ă  nouveau sur elle. Et elle ne pu que lui sourire. Et admettre ... qu'il avait gagnĂ© la partie. Comme si tout depuis le dĂ©but n'Ă©tait qu'une partie de cache-cache comme aurait pu y jouer deux gamins. Car finalement, lui aussi, avait admis l'avoir cherchĂ©e de son cĂŽtĂ©. Elle n'Ă©tait donc pas seule dans ce dĂ©lire. Seule Ă  vouloir le voir, le retrouver, le connaĂźtre. Etaient-ils deux fous ? C'Ă©tait tout Ă  fait possible, mais elle s'en fichait pas mal et au moins pour une fois elle n'Ă©tait pas seule dans son dĂ©lire. Viens. »Quoiiiii ?!! Mais dĂ©jĂ , il avait attrapĂ© sa main et l'entraĂźnait avec lui. Ensemble ils prenaient la fuite. Encore une fois elle ne savait ce qu'elle faisait, elle ne savait pourquoi ils fuyaient mais elle adorait cela. Elle se sentait si lĂ©gĂšre, si heureuse. Jackie criait son prĂ©nom. Et elle s'en fichait. Elle profitait de l'instant prĂ©sent avec ce total inconnu. Et ... s'Ă©tait si bon. Elle qui avait une vie parfois si posĂ©e et ennuyeuse et Ă  l'opposĂ© parfois si difficile, cruelle. Depuis qu'il Ă©tait apparu comme un hologramme qui va et vient, elle se sentait comme ... libre. Comme si elle Ă©tait dans un rĂȘve et que rien n'Ă©tait vrai et donc que rien n'avait d'importance. Ils couraient la main dans la main sans savoir oĂč. Enfin, elle l'ignorait mais Alvario semblait connaĂźtre leur fou !!! On est cinglĂ©s ... Je sais mĂȘme pas qui tu es et ... j'M'EN FOU !!!!!Autumn Ă©clata de rire. Et enfin leur course folle s'arrĂȘta, ils Ă©taient arrivĂ© Ă  destination. Il s'agissait de l'attraction avec les labyrinthe en miroirs. Notre infirmiĂšre se mordilla la lĂšvre infĂ©rieure, se mit Ă  sourire et le regarda dans les yeux. Cette attraction avait un sens pour elle. Enfin, seulement avec lui, car sinon ce ne serait qu'un jeu. Mais, ici, Ă  cet instant, avec lui. Ce jeu Ă©tait leur histoire. Attrapes-moi si tu peux !! Elle dĂ©posa un baiser rapide sur sa bouche et puis elle lĂącha sa main pour s'engouffrer dans l'attraction. ils n'avaient mĂȘme pas payĂ©, n'avaient donc pas de tickets mais elle s'en fichait, elle courait dans le jeu. Et elle tentait d'avancer le plus vite possible, sans trop se blesser, car souvent elle tapait dans un miroir. Elle ne pouvait s'empĂȘcher de rire et de regarder derriĂšre elle. Elle se sentait enivrĂ©e quand elle l'apercevait non loin. Ven 18 Sep 2020 - 305 Cache-cache au pays de MickeyElle rit, Autumn, elle crie Ă  travers la foule Ă  quel point nous sommes fous alors que je l'entraine dans ma course folle Ă  travers le parc. L'adrĂ©naline de ma folie Ă©chauffe mes jambes qui avalent la route alors qu'elle me suit. Son rire Ă©clate Ă  travers le vent. Il chante Ă  mes oreilles. Elle s'en fou, de qui je suis. On s'en fou, de qui nous sommes, ça n'a aucune importance. Pas la moindre. Ce qui en a, ce sont les idĂ©es folles que notre rencontre si attendue Ă©veille en nous. L'extravagance de mon geste imprĂ©visible, sa main dans la mienne et mon coeur qui s'envole. L'art de tout oublier de nos vies, de nos amis, de tout ce qui nous entoure, le temps d'un pas s'arrĂȘtent devant le manĂšge. Mon regard espiĂšgle tombe sur elle, qui se mord la lĂšvre avant de sourire, entrainant le mien qui s'Ă©tire encore et encore, semblant ne plus vouloir se faner. Ses prunelles me trouvent, une fraction de seconde avant que sa voix me lance un dĂ©fi qui fait pĂ©tiller mon Ăąme. Elle m'embrasse, Autumn, elle goĂ»te mes lĂšvres pour la premiĂšre fois dans un baiser volĂ©. Trop chaste, trop frustrant, trop surprenant. Horriblement exaltant. La surprise me cloue sur place. Sa main me relĂąche. Je la suis du regard alors qu'elle s'enfonce dans l'attraction. Mes pieds agissent Ă  ma place pour s'Ă©lancer Ă  sa poursuite. J'entends son rire Ă  travers le labyrinthe. Mes yeux attrapent son reflet, qui se rĂ©pĂšte tout autour de moi jusqu'Ă  m'en rendre dingue. J'avance, cours aprĂšs la jeune femme en mĂȘlant mon rire au sien. Plus d'une fois, je vais trop vite. Plus d'une fois, je me fracasse presque contre les miroirs qui crissent sur mon passage. Plus d'une fois, je pense la surprendre alors que son reflet m'Ă©clate de rire au nez, avant de disparaitre aussitĂŽt. Je croise son regard muni de la mĂȘme frĂ©nĂ©sie, lui qui me dĂ©fie de la rattraper plus vite, pour en avoir encore. Pour ne plus la laisser s'Ă©chapper. Plus s'arrĂȘte. Je la fixe alors qu'elle me fait face. Le coeur battant, sourire aux lĂšvres, j'approche alors qu'elle recule. Et puis, elle disparait Ă  nouveau, s'Ă©vade avant mĂȘme que j'ai pu croire que c'Ă©tait elle et pas une de ses copies. Elle va me rendre fou, Ă  jouer ainsi avec mes nerfs et ma frustration. J'y suis presque. Mes doigts la frĂŽlent mais manque leur cible Ă  chaque fois. Elle est vive, elle s'envole et s'Ă©chappe de ma prise tel le vent. Insaisissable. Enfin, le labyrinthe se referme sur nous. Un cul de sac. Elle est piĂ©gĂ©e, entourĂ©e par ses copies parfaites, Ă©clairĂ©es par les spots qui veillent sur nous. La course folle de mon coeur bat contre mes oreilles. Je reprends mon souffle alors qu'elle se retourne pour me faire face. Elle n'a plus d'Ă©chappatoire. Il n'y a plus que moi, qui m'avance lentement vers elle. Je suis incapable de la lĂącher des yeux. Rien qu'un instant, alors que j'approche Ă  pas de loup. Mon corps se fond presque contre le sien. Il entretien la tension. Mes prunelles brillent d'excitation, elles brĂ»lent de la retrouver Ă  nouveau. Sans un mot, je rĂ©cupĂšre sa bouche, rĂ©duit Ă  nĂ©ant la distance qui nous sĂ©pare encore. Mes doigts glissent Ă  sa rencontre. Ils la dĂ©couvrent sous les frissons qui m'assaillent. Ma langue ne tarde pas Ă  la chercher, pour approfondir notre baiser encore trop chaste. C'est de la folie. Ça pĂ©tille dans chaque fibre de mon ĂȘtre Ă  m'en faire perdre la tĂȘte. Il n'y a plus rien. Plus rien d'autre qu'elle Ă  cet instant. c DΛNDELION Ven 18 Sep 2020 - 1330Autumn est une femme libre et libĂ©rĂ©e qui tente par tous les moyens de vivre sa vie comme elle l’entend. Elle est positive, pleine de vie et profite au maximum. Mais malgrĂ© son Ă©tat d’esprit, la vie, son mĂ©tier et parfois les autres la ramĂšnent souvent Ă  une rĂ©alitĂ© moins lĂ©gĂšre mais plus difficile, plus sombre. Cependant, depuis l’apparition de ce bel inconnu dans sa vie. Tout est soudain devenu diffĂ©rent. Il Ă©tait comme un ĂȘtre magique, un fantĂŽme qui venait mettre du piquant Ă  sa vie. Qui lui donnait envie de se lever le matin dans l’espoir de peut-ĂȘtre le croiser. Car le dĂ©sir de le croiser Ă  nouveau, de le connaĂźtre, d’attraper ce rĂȘve volatile et Ă©phĂ©mĂšre donnait du peps Ă  sa vie de plus en plus monotone. Alors quand il prit sa main, elle n’a absolument pas voulu rĂ©sister, au contraire, elle Ă©tait envahie par le dĂ©sir de fuir avec lui. Car Ă  cet instant prĂ©cis son cƓur se mettait Ă  battre la chamade et ça faisait si longtemps qu’il ne s’était pas exprimĂ© de cette maniĂšre. Elle ne savait pas qui il Ă©tait, d’oĂč il venait, mais elle n’avait pas peur de lui. Il rĂ©veillait en elle l’adolescente qu’elle avait Ă©tĂ©. Il lui faisait vivre Ă  nouveau l’insouciance, le plaisir, le dĂ©sir, le jeu. Elle se laissait porter par les sentiments et les dĂ©sirs qu’il faisait naĂźtre en elle. Et quand elle vit l’endroit oĂč il la menait, quand elle croisa son regard, aperçut son sourire. Elle se laissa aller. Elle s’approcha de lui, pour lui voler un baiser 
 fugace. Puis elle lĂącha sa main et s’échappa, lui lançant un dĂ©fi au passage. Celui de l’attraper. Et s’il le relevait ce dĂ©fi ? Et s’il y parvenait que se passerait-il ? SincĂšrement, elle en avait aucune idĂ©e car elle ne pensait pas autant, elle ne pensait pas si loin, elle se laissait guider par son corps et son cƓur et non sa tĂȘte. Rien n’était rĂ©flĂ©chit, calculĂ©, tout Ă©tait improvisĂ©, sur l’instant. Elle Ă©tait aussi ainsi Autumn. Et Alvario, aussi, sĂ»rement. Car il la suivait, il courait aprĂšs elle. Semblant faire son maximum pour la rattraper. Il y allait tellement pour de vrai, qu’il se cognait parfois. Et elle s’arrĂȘtait, croisait son regard, son reflet. Elle Ă©tait soudain comme une tentation de plus. Puis elle filait, s’échappait Ă  nouveau. Parfois, elle se stoppait seulement pour le regarder pour ĂȘtre certaine de ne pas le perdre de nouveau. Et quand il la regardait, elle se sentait bien, puis soudain son regard se changeait, une lueur de provocation apparaissait, son sourire se faisait joueur, elle riait Ă  en faire vibrer les miroirs. Il n’était plus trĂšs loin. Mais elle Ă©tait persuadĂ©e de pouvoir gagner, de pouvoir sortir avant qu’il ne la rattrape. Quand 
 soudain 
 elle tĂątait les parois de verre. Aucune sortie, elle Ă©tait dans un cul de sac. Elle se tourna pour sortir mais il Ă©tait lĂ . PlantĂ© devant elle. Bloquant la seule sortie. Il venait de la prendre au piĂšge. A nouveau elle se mit Ă  rire. Je crois que j’ai encore regard plongeait dans le sien, alors qu’il s’approchait doucement d’elle. La distance entre eux n’était pas si grande et pourtant son avancĂ©e lui semblait interminable, comme au ralenti. Des papillons naissaient dans son corps. Et durant tout ce temps son regard l’hypnotise. Et, soudain, ces frissons qui envahissent son corps quand, enfin, il la frĂŽle, la touche, se colle tout contre elle. La chaleur qui se propage en elle, alors que ses lĂšvres prennent possession des siennes. Leurs langues s’unissant pour une danse endiablĂ©e. Leurs corps bougent, elle se retrouve plaquĂ©e contre une des parois. Mais soudain, la fin. Le choc total. Jackie vient de pousser violemment Alvario pour les faire se dĂ©tacher. JACKIE ! Qu'est-ce qui te prends ? Bon sang !Non mais ça va pas vous deux ? Tu es qui toi ? C’est pas un truc Ă  faire dans un jeu pour les gosses . DĂ©gages !!Il attrape le bras d'Autumn qui se dĂ©bat physiquement et verbalement mais il n’écoute rien. Il est plut fort et tout se dĂ©roule trĂšs vite. Il l’entraĂźne Ă  l’extĂ©rieur. OĂč se trouve le reste du groupe, qui les regardent mĂ©dusĂ©s, sans rien comprendre Ă  la situation. Mais Autumn ne veut pas suivre et Jackie qui s’énerve un peu plus, la jalousie bouillonnant dans ses veines. Il se baisse, la place sur son Ă©paule, la soulĂšve et l’embarque comme si elle n'Ă©tait qu'une enfant prise sur le fait par son agis comme une idiote. Tu ne le connais mĂȘme pas. C'pas toi ça ... puis il est tard, on t'a cherchĂ© partout. ON RENTRE !!! Ven 18 Sep 2020 - 1419 Cache-cache au pays de MickeyNos bouches se rĂ©pondent, elles s'Ă©veillent, s'allument et s'usent l'une contre l'autre. Le manque de souffle de nous effleurent mĂȘme pas. L'excitation gonfle entre nous alors que mon corps la plaque contre le miroir derriĂšre elle. La chaleur se diffuse dans mon ventre, le long de mon ĂȘtre qui la rĂ©clame dĂ©jĂ . C'est de la passion brute, atone, qui dĂ©passe la logique. Ça me transperce de toute part, comme un rĂȘve devenant ma rĂ©alitĂ©. C'est ça s'arrĂȘte. En un coup. On me tire en arriĂšre, on m'arrache Ă  elle sans que je m'y attende. Mon dos atterri avec fracas contre un miroir, faisant claquer mes dents sur ma langue. Mes yeux se ferment briĂšvement pour accuser le choc, puis se rouvre sur la sale gueule du mec qui vient de me faire voler. Tout va trop vite. Il est dĂ©jĂ  sur elle alors qu'elle se dĂ©bat. Il l'emmĂšne loin de moi, la tire Ă  sa suite alors qu'elle proteste. Mon corps se dĂ©colle Ă  peine du reflet pour tenter de l'attraper au vol, mais mes doigts glissent sur son haut. Elle s'envole en un souffle. J'hĂ©site. Trop longtemps. Mes pieds restent figĂ©s sur place. Mon regard se heurte sur ce gars qui la porte comme si elle n'Ă©tait qu'une poupĂ©e de chiffon. Je boue de l'intĂ©rieur. J'ai envie de courir, de la rattraper, de provoquer ce gars qui m'a arrachĂ© mon rĂȘve, mais c'est trop tard. Ils ont dĂ©jĂ  disparu. Je n'ai mĂȘme pas pu croiser son regard une derniĂšre dos retrouve la surface dure. Mon corps se font contre elle, complĂštement sonnĂ©. Une main glisse dans mes cheveux pour tenter de me remettre les idĂ©es en place. Tout est allĂ© si vite. Trop vite. Je frĂŽle mes lĂšvres du bout de mes doigts. Je porte encore le goĂ»t de sa langue sur mon palet. Je mordille ma lĂšvre en relevant les yeux vers l'endroit oĂč elle a disparu. Je la retrouverais. Nos chemins se re-croiseront. Il ne peut pas en ĂȘtre autrement. Ça ne peut pas se finir comme ça. Ce n'est que le c DΛNDELION Cache-Cache au pays de Mickey - AlvarioPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardAshton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Dim 24 Juin - 1928 Le charme d'Ashton fit comme prĂ©vu son effet trĂšs rapidement. S'il Ă©tait du genre Ă  se vanter il aurait pu dire qu'au fil du temps cela devenait lassant et qu'il aurait parfois prĂ©fĂ©rĂ© avoir un peu de challenge, mais ce serait mentir et il n'Ă©tait pas un menteur. Le sorcier apprĂ©ciait volontiers les facilitĂ©s que la vie lui avait accordĂ© au niveau de la sĂ©duction entre autre. C'Ă©tait probablement grĂące Ă  cela qu'il avait pu rĂ©pandre aussi facilement ses gĂšnes. En mĂȘme temps ce n'Ă©tait que justice qu'il possĂšde quelques qualitĂ©s Ă©lĂ©mentaires pour contrebalancer son passĂ© sombre et mystĂ©rieux. Ce n'Ă©tait pas facile tous les jours d'avoir perdu toute sa famille dans un incident tragique comme cela avait Ă©tĂ© son cas. Heureusement que l'une de ses sƓurs avait survĂ©cu, mĂȘme si elle Ă©tait actuellement encore dans le coma en attendant d'ĂȘtre rĂ©animĂ©e pour des besoins narratifs. S'il y avait bien une chose qu'on ne pouvait pas reprocher Ă  Ashton c'Ă©tait d'avoir su aller de l'avant malgrĂ© les difficultĂ©s. Cette capacitĂ©, il la devait probablement Ă  son QI de 287 qui lui avait permis d'obtenir ses ASPICs sans mal alors qu'il avait manquĂ© la moitiĂ© de sa derniĂšre annĂ©e Ă  Poudlard. Mais revenons-en Ă  nos PrĂ©pare-toi Ă  passer la meilleure nuit de ta s'Ă©tait approchĂ©e et venait Ă  prĂ©sent de s'installer Ă  califourchon sur ses jambes. C'Ă©tait une situation qui convenait plutĂŽt trĂšs bien Ă  l'ex-Gryffondor mĂȘme s'il ne s'attendait pas Ă  ce que son regard charmeur fonctionne de maniĂšre aussi efficace. Le sang-mĂȘlĂ© trouvait cela un peu louche la rapiditĂ© avec laquelle la jeune femme avait dĂ©cidĂ© qu'il n'Ă©tait pas un danger mais elle avait beaucoup de charme et il n'allait pas s'en plaindre. Naturellement, Ashton se rapprocha d'elle avant de l'embrasser comme elle n'avait jamais Ă©tĂ© embrassĂ©e. De rien, c'Ă©tait un cadeau de sa part. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Jeu 28 Juin - 1313 Alors j'Ă©tais Ă  l'aise sur ces jambes, de toute façon nuls doutes que si il Ă©tait un danger, il me faudrait moins de trois secondes pour le plaquer au sol et le livrer aux autoritĂ©s mangemorts, parce qu'ils Ă©taient tous mes amis super dark, on se retrouvait parfois le soir sur des terrains vagues pour souffler nos mĂšches en Ă©coutant de l'opĂ©ra, le tout en fumant des cigarette Vogue aussi longue que le nez du masque de voilĂ  l'union des lĂšvres roses pĂąles et piquante que bien peut pouvaient toucher de cette façon. Parce que les embrasser c'Ă©tait comme effleurer une fleur empoisonnĂ©e. S'approcher de moi ne garantissait pas la vie, parce qu'il y avait toujours cette colĂšre noir qui grondait en moi, symbole d'une multitude de frustrations dĂ» Ă  mon enfance passĂ©e enfermĂ©e dans les bibliothĂšque Ă  accumuler beaucoup de savoir, car 'javais eu bon espoir de devenir professeur Ă  l'Ăąge de neuf ans, mais il parait que cela m'Ă©tait impossible tant que ma majoritĂ© n'avait pas Ă©tĂ© coupje me laissealleren pensant en goutteen saut de ligne parce qu'il parait que ça accentue toute ma noirceur. Son baiser est passable, mais je le rends avec d'avantage de fougue, parce qu'il lui est interdit de me surpasser dans quelque domaine que ce soit, de toute façon il se rendra bien compte un peu plus tard que cela lui est impossible. Alors en l'embrassant je cherche oĂč j'ai pu voir son visage. Puis je comprends, je me souviens. alors je commence Ă  sourire en passant son tee-shirt par dessus sa tĂȘte. Car il a au moins le mĂ©rite d'ĂȘtre tout aussi tĂ©nĂ©breux que moi. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Jeu 5 Juil - 2308 Parmi les miracles divins encore visibles au vingt-deuxiĂšme siĂšcle, on pouvait compter les fois oĂč une semaine de grand beau temps Ă  Londres s'enchaĂźnait avec une autre semaine de grand beau temps, les fois oĂč un directeur de Poudlard ne mourait pas dans des circonstances dramatiques en cours de fonction, et Ă©videmment Ashton Parker. Il essayait du mieux qu'il pouvait de rester humble malgrĂ© sa condition mais c'Ă©tait parfois bien difficile. MĂȘme pour son entourage, cela avait dĂ» ĂȘtre terriblement dur de vivre et mourir constamment dans son ombre. Il savait d'ailleurs trĂšs bien qu'Ă  sa naissance sa mĂšre avait pleurĂ© parce qu'elle savait dĂ©jĂ  qu'elle ne serait jamais meilleure que lui, la pauvre. *signe de croix en levant les yeux au ciel*Il en allait de mĂȘme pour les diffĂ©rents partenaires du sang-mĂȘlĂ©. Il lui arrivait de temps Ă  autre de prendre du bon temps mais la plupart de ses conquĂȘtes devaient avoir un arriĂšre goĂ»t amĂšre en pensant au fait qu'il ne connaĂźtraient plus jamais un aussi bon orgasme de leur vie. Parfois, lorsqu'il lui arrivait de s'ennuyer entre un mĂ©fait particuliĂšrement malicieux et une apparition publique Ă©blouissante, l'ex-Gryffondor pensait Ă  tous ces gens qui croisaient son chemin et dont la vie serait Ă  tout jamais en parlant de Gryffondor, ce n'Ă©tait pas pour rien qu'il Ă©tait allĂ© lĂ -bas puis que c'Ă©tait la maison dans laquelle on retrouvait tous les sorciers aux pouvoirs et talents hyper cheatĂ©s et agaçants comme lui. Pour en revenir Ă  l'action du moment, Ashton venait de donner le meilleur baiser de sa vie Ă  une inconnue qui le lui rendait assez acceptablement. Elle ne pouvait d'ailleurs pas s'empĂȘcher de lui enlever son t-shirt, ce qui paraissait normal puisqu'elle souhaitait admirer son magnifique torse. Le sorcier fit de mĂȘme pour le haut de la jeune femme avant de retirer son soutien-gorge en quelques instants parce qu'il Ă©tait trop douĂ© et que s'il avait voulu il aurait largement pu le faire mĂȘme sans les mains. Et puis bon il fallait bien admettre que sa conquĂȘte du soir valait le dĂ©tour. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Dim 8 Juil - 1623 Il est des choses inoubliables, Ă©blouissantes, si dĂ©concertantes qu'on oublie de les saisir dans l'instant et que l'on regrette. Il Ă©tait trĂšs clair que l'inconnu regretterait Ă  jamais de n'avoir pu me saisir et me garder Ă  ces cĂŽtĂ©s toute sont existence afin d'avoir au moins le privilĂšge de vivre dans l'ombre majestueuse qu'est la mienne. Mais je suis insaisissable, j'ai de nombreux de part mes performances exceptionnelles, mais personne ne peut toucher mon cƓur de glace. Il a Ă©tĂ© brisĂ© parun amour impossible et au moins tout aussi dramatique d'une tragĂ©die shakespearienne. VoilĂ  ses mains qui glissent sous mon haut et entreprennent de me l'ĂŽter, et je pense une seconde Ă  le prĂ©venir que mon torse pĂąle l'Ă©blouira Ă  coup sĂ»rs, tant de splendeurs que de ces cicatrices multiples qui me font paraĂźtre si badass. Il y avait en effet de quoi ĂȘtre mille fois admiratif. alors j'expose mes fĂȘlures pour montrer que j'ai beau ĂȘtre un ĂȘtre torturĂ© et sombre, je suis aussi sensible. J'ai l'air de rien des faiblesses qui cependant me prĂ©sentent toujours Ă  mon avantage trop trop sexy, trop Je suis cellui qui aurait pu inspirer le personnage de Bella Swan si j'Ă©tais Ă  la bonne Ă©poque. Le corps se fait fĂ©minin alors que les Ă©treintes continuent, disparition de la bosse contraire Ă  ce que l'on veut appeler l'ordinaire. Mais je suis parfaite, jamais trop excentrique, toute est une histoire de juste mesure. Et voilĂ  mon torse nu que je le laisse effleurer, car il n'en aura l'occasion qu'une seule fois dans sa vie. Mes mains continue Ă  parcourir son dos et son ventre, parce qu'il faut reconnaĂźtre que le dĂ©tour vaut le coup aussi de ce cĂŽtĂ©-ci. Les lĂšvres continuent Ă  chercher les siennes alors que mon pantalon tend Ă  disparaĂźtre. Il y a cette fougue Ă  vouloir exposer ses talents. profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas jamais. c'est vrai je suis sauvage au fond, j'attire les gens avec mes mystĂšres, ils frĂŽlent la glace de mon cƓur et deviennent accro Ă  moi. Meilleur façon de se crĂ©er une cour chez les Ă©lĂšves et les autres dans laquelle tout le monde se dispute mes faveurs. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 11 Juil - 1524 A prĂ©sent qu'il Ă©tait torse nu, sa partenaire pouvait admirer la grande cicatrice qu'il arborait sur le flan. Cela montrait qu'il avait du vĂ©cu de badass, qu'il ne fallait pas le chercher sinon il serait capable de se battre sacrĂ©ment violemment. Cette cicatrice il se l'Ă©tait fait en tombant de son balai en cinquiĂšme annĂ©e en combattant un ours polaire Ă  mains nues. La seule raison pour laquelle il ne l'avait pas achevĂ© Ă©tait que son espĂšce Ă©tait menacĂ©e par les moldus et qu'au fond c'Ă©tait un mec en revenir Ă  l'action qui se dĂ©roulait en ce moment mĂȘme, les vĂȘtements Ă©taient Ă  prĂ©sent bien plus prĂ©sents sur le sol que sur eux et c'Ă©tait mieux comme cela. On pouvait largement mieux admirer le corps digne d'un dieu grec d'Ashton lorsqu'il n'avait rien sur lui. Certains haters diraient que sa plastique de rĂȘve Ă©tait Ă  cent pourcent fake Ă©tant donnĂ© qu'il avait entiĂšrement remodelĂ© son apparence Ă  l'aide de la MĂ©tamorphomagie mais lui considĂ©rait que c'Ă©tait plutĂŽt l'inverse puisqu'il avait fait tout cela lui-mĂȘme simplement grĂące Ă  son Profite, je suis inoubliable et tu ne me rattraperas n'Ă©tait pas Occlumens facultĂ© qu'il avait d'ailleurs appris en autodidacte comme un bg, Parker aurait jurĂ© que sa conquĂȘte du soir lisait dans ses pensĂ©es. Certes elle Ă©tait pour l'instant un excellent coup mais bon, de lĂ  Ă  la qualifier d'inoubliable le sang-mĂȘlĂ© ne se prononçait pas Ă©taient Ă  prĂ©sent passĂ© aux choses sĂ©rieuses et Parker envoya balader d'un geste de la main les cousins qui encombraient le canapĂ© afin qu'ils aient la place de s'y Ă©taler. Tout en embrassant fougueusement la propriĂ©taire des lieux, le sorcier changea de position pour se retrouver au-dessus d'elle. Il devenait difficile de rĂ©flĂ©chir dans le feu de l'action mais en parlant d'inoubliable, la personne collĂ©e Ă  lui commençait Ă  lui dire quelque chose. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 23 Juil - 103 tw - sexeLA de Ashton accordĂ©Les choses s'accĂ©lĂšrent et j'en ai presque la tĂȘte, tant ça fait longtemps que je ne l'ai pas fait avec quelqu'un capable de satisfaire mes dĂ©sir si Ă©levĂ©s. Alors quand tu bascules au dessus de moi en m'embrassant, je comprends. Il y a quelque chose dans ta gestuelle que je connais dĂ©jĂ  mais que je ne comprendrai que plus tard. Parce que pour l'instant y a mon dos qui se cambre alors que tes lĂšvres descendent parce que ça fait longtemps qu'on s'est pas occupĂ© de moi ainsi. Le cou, le ventre, tes lĂšvres suivent le cours de la cicatrice jusqu'Ă  mon aine, puis descendent plus bas encore. Comme si ta bouche avait le don de lire et que je sois ton livre favori. Trouve la page que tu prĂ©fĂšres dans la douceur de mon Ă©crin et lis-la attentivement, avec fluiditĂ© aisance et enthousiasme. Ne t'avise pas d'omettre un seul mot et je jure que le dĂ©nouement sera exquis. Les mots vont jaillir, recouverts de miel ambre. Couler sur tes lĂšvres. Et quand tu n'en pourras plus assieds-toi. Parce que ce sera mon tour de jouer de la musique avec toi, les genoux comme souvent s'Ă©gratignant au sol. Mais avant que je me redresses, alors que tu seras assis, il y aura l'interrogation unique un Parker ? entrecoupĂ© par le souffle saccadĂ©. Parce qu'il n'y avait qu'une seule personne capable de m'Ă©galer dans tout ce qui touchait au plaisir charnel. Je le savais. Et puis cent fois sur le mĂ©tier, je remettrai mon ouvrage, mes lĂšvres trouvant Ă  leur tour ton corps, en dessinant les contours d'abord pour mieux saisir et comprendre la complexitĂ© de cette nouvelle apparence. Je te trouverai mieux comme ça, il y avait d'avantage de douceur dans tes yeux, d'avantage de courbures sur tes hanches. Alors je descendrai encore, te rendant la monnaie de ta piĂšce, les lĂšvres dociles et agiles, et malgrĂ© la rĂ©pĂ©titions des gestes une nuit aprĂšs l'autre sur des inconnus avides d'eux mĂȘme, il y aura ce soir la rĂ©elle envie de te donner du plaisir. Parce qu'avec toi il y aura l' que je garde un excellent souvenir de notre derniĂšre nuit ensemble. Ashton ParkerLĂ©gendeGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleAshton Parker, le Mer 29 AoĂ» - 1803 LA de Shae pour clĂŽturerIl devenait Ă  prĂ©sent difficile pour Ashton de garder la tĂȘte froide, malgrĂ© son QI exceptionnel on pouvait quand mĂȘme dire qu’à prĂ©sent la majeure partie de sa rĂ©flexion s’effectuait avec son entrejambe. Il avait cependant la satisfaction de voir que sa partenaire semblait apprĂ©cier ce qu’il faisait, preuve qu’il n’avait pas perdu la main et qu’il Ă©tait toujours le meilleur coup du pensĂ©e persistait pourtant dans l’esprit du MĂ©tamorphomage. Il avait comme une sensation de dĂ©jĂ  vu bien qu’il soit certain de n’avoir pas rencontrĂ© l’inconnue avant ce soir ; quelqu’un comme ça ne s’oubliait certainement pas. C’est alors que, au milieu de l’action qui unissait leurs corps, elle prononça son nom bien qu’il Ă©tait certain de ne pas lui avoir donnĂ© plus tĂŽt. Et soudain cela fit clic dans son esprit, les piĂšces du puzzle s’assemblant Keats ? demanda-t-il dans un fois leurs Ă©bats terminĂ©s, alors qu’il reprenaient leurs esprits, toujours allongĂ©s sur le canapĂ©, la propriĂ©taire de l’habitation lui expliquait qu’elle Ă©tait bel et bien la personne qu’il connaissait auparavant sous le nom de Leo. CoĂŻncidence incroyable c’est fou comme le monde est petit ! elle Ă©tait aussi MĂ©tamorphomage et se prĂ©nommait Ă  prĂ©sent Shae. Bien Ă©videmment Ashton lui expliqua Ă©galement ce qu’il lui Ă©tait arrivĂ©. Tout compte fait le destin avait bien fait les choses et il Ă©tait ravi d’avoir recroisĂ© la route de du RP Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 12 Nov - 1129 Pv FilsLa nuit n'est jamais complĂšte, au bout de chaque antre bleue se reflĂšte une fenĂȘtre. Rebord de bronze, ou de rouille, on a oubliĂ© depuis le temps, mais peu importe. Il y a au bout de la nuit, juste aprĂšs un Ă©niĂšme mauvais rĂȘve du chiard, une ouverture sur le dehors. L'extĂ©rieur guĂšre plus clair que ne l'est la luciditĂ© matinale, obscurcie par la fumĂ©e que crache Ă  pleins poumons la cheminĂ©e dĂ©laissĂ©e depuis le retour sur le sol fenĂȘtre Ă©clairĂ©e oĂč un rĂȘve veille toujours. L'Ăąme vivante se rĂ©approprie peu Ă  peu les lieux. Les murs s'imprĂšgnent de la nouvelle maĂźtresse du fort alors que rien n'est officiel. Il n'y a que l'odeur du dimanche matin hivernale, du froid et de cendres sur la petite bourgade dont le corps exquis n'Ă©tait pas encore parvenu Ă  franchir le seuil. Deux ans et demi trop tard. L'existence du hasard prĂ©fĂ©rĂ©e aux rendez-vous, j'attendais, un quart de thĂ© sur les lĂšvres, le dernier sur les genoux. Le jour pĂąle ne tarderait plus, mais nul bambin Ă  enterrer Ă  l'aube. À l'heure oĂč blanchit la campagne il ne se passera rien, les drames se sont volatilisĂ©s entre moi et ici. Il y a pleus qu'une nouvelle routine Ă  se forcer Ă  avaler, jusqu'Ă  en trouver le goĂ»t un tant soit peu supportable. La crainte du matin a remplacĂ©e le dimanche soir. ÂpretĂ© des lever du jour, sans comprendre pourquoi lui se lĂšve quand l'autre tombe passĂ© dix-sept heures. Le nuit guillotine qui s'abat sur la conscience et berce dans un pays oĂč les paroles n'ont plus lieux d'ĂȘtre. La communication imagĂ©e, et rien n'a la moindre importance. Porte d'Ă©bĂšne refusĂ©es Ă  l'Ă©phĂšbe, assis sur sa chaise, un thĂ© en main. Celle qui ce matin se contentera des cendres, de la nausĂ©e dĂ©licieuse de n'avoir point assez dormi. La gueule de bois sans avoir bu et les dĂ©lices de la sobriĂ©tĂ© fragile et toute nouvellement acquise. Le manque-chaleur, le manque fournaise, l'impression que le creux remplace l'oxygĂšne. Et le Hodor le fils perdu. Perdu en mĂȘme temps que le miroir. Le Pinnochio joueur noyĂ© dans les Ă©clats de verres. Le fils Ă  qui l'on aurait dĂ» dire, mais Ă  qui on ne dira pas. La peur d'en mourir pour des mots prononcĂ©s bien trop bas. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Mer 12 DĂ©c - 2133 SURFACE DURE — pv. dans les rues de PrĂ©-au-Lard comme si c'Ă©tait Paris, New York ou Copenhague. Les briques rouges se remplissent de brume Ă  la javel et blanchissent lorsqu'on les passe Ă  la lumiĂšre du crĂ©puscule. La lune danse sous les Ă©toiles ce soir. DĂ©but de soirĂ©e. Une bouteille vide de whisky traĂźne comme un vieux mort entre les pavĂ©s et la bouche d'Ă©gout. — Il y a un Ă©norme fossĂ© entre ce que l'on est et ce que l'on croit espoirs de retrouver son ElhĂ«na vont de dĂ©sillusions en dĂ©sillusions. Il sait qu'elle a irrĂ©mĂ©diablement changĂ©, qu'elle n'est plus du tout comme avant et pourtant, il se l'accorde pour la premiĂšre fois c'Ă©tait peut-ĂȘtre une erreur. Le pire dans tout ça, c'est qu'il n'a pas l'air d'ĂȘtre peinĂ© par cette sensation si terrible, suffocante et terrifiante. Non. Plus rien ne le traĂźnera vers le fond, parce qu'il y a passĂ© tout son temps et qu'il sait comment sortir de lĂ . Le visage aussi froid qu'un glaçon de neige, le regard et la mĂąchoire qui se durcissent. Les yeux qui croisent une lumiĂšre brisĂ©e Ă  travers la vitre d'une habitation qu'il croyait abandonnĂ©e depuis des pour l'intrusplutĂŽt que le sixiĂšme annĂ©e sort sa baguette, une nouvelle d'ailleurs, qu'il a renommĂ©e Ontamo. Celle qui créé. Celle qui sculpte. De sa main d'artiste, la crĂ©ation est nĂ©e. Elle est aussi spĂ©ciale que lui, aussi unique. Aussi Ă©lĂ©gante. Aussi dĂ©licate et redoutable Ă  la fois. L'esthĂ©tisme est assez incroyable, entre le cƓur et le corps. Traverser le portail Ă  pas de chat. De son autre main, il rentre par effraction avec son canif magique - place Ă  l'humeur fracassante. La tempĂȘte. Qui risque d'Ă©clater, dans la salle Ă  tĂȘteUne tĂȘte bien trop connue pour ĂȘtre sienne est une surface comme un bout de bois, de glace ou d'effroi masque de tufais lĂ . Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Mer 26 DĂ©c - 1455 Le serment a en soit Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ©. Nulle dĂ©rogation aux mots ni aux attentes DisparaĂźtre n'est pas trahir. C'est s'Ă©carter, laisser la place Ă  une autre entitĂ© qui supporte les matins d'hiver. Qui n'utilise pas la vapeur de son thĂ© comme paravent pour se cacher du monde. Nul refuge non plus derriĂšre l'Ăąpre de la cigarette Ă  moitiĂ© consumĂ©e. Celle qui outrepasse Ă  peine ses droits en se rĂ©pandant en miettes de soi dans l'atmosphĂšre. Ostensoir improvisĂ© pour cĂ©lĂ©brer un retour Ă  une vie dans laquelle l'ĂȘtre se cantonne. Le gris avale tout sur son passage, bientĂŽt recouvert de couleurs froides alors que l'aube point. Insupportable de lenteur. Une fois le soleil apparu, tout sera plus simple. La maisonnĂ©e insupportable de silence s'animera un peu. Mais il y a un silence religieux dans l'attente de la vie et du rĂ©veil des paysages. Un silence que la voix qui s'Ă©trangle dans la gorge ne parvient Ă  briser. Qu'accompagne la nausĂ©es des nuits trop blanches lorsque les jours noirs sont refusĂ©s par les qu'on aura tout le temps de rattraper ses nuits une fois les deux moustiques lĂąchĂ©s au monde. Il ne neige plus sur les tables non plus, la sobriĂ©tĂ© accompagnĂ©e d'une rĂ©alitĂ© fade. Plus de poudreuse ni de flocons survivants au milieu des traces de doigts. Ne plus confondre les molĂ©cules avec l'atmosphĂšre. Il semblerait qu'il s'agisse de grandir. Ne plus se perdre dans la poussiĂšre de l'autre bout d'un monde. Et commencer Ă  bĂątir dans la qui grince- tranche en pointe mĂ©tallique dans le silence gris et vie. vie qui s'immisce par la porte quand on ne l'attend plus. Celui Ă  qui on a pensĂ© mais Ă  qui on a rien dit. Ne pas trop savoir quelles excuses prĂ©senter. IncapacitĂ© Ă  dire le vrai car admettre avoir voulu tendre une main que l'on a toujours prĂ©sentĂ© tremblante sous ce visage-ci. Question Ă©vidente et rĂ©ponse tout autant. On est rentrĂ©s. Les gosses se construisent pas tous seuls. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Lun 7 Jan - 1341 SURFACE DURE — pv. est surpris mais il ne le montre pas. Il n'est plus du genre Ă  laisser ses pensĂ©es intĂ©rieures immerger son visage pĂąle. L'envie de tout lui balancer Ă  la gueule aussi, qui le prend aux tripes. Une nausĂ©e qui survient - tant par la colĂšre que pas la douleur. La douleur d'une perte. D'une absence. Parce qu'iel Ă©tait sans accord, sans rien et sans bruit dans la nuit morte. Laissant derriĂšre iel, deux pauvres employĂ©s aux Trois Balais. C'Ă©tait pas censĂ© ĂȘtre un cocon familial, ce truc ? Tout Ă  l'air plus triste ici. Une maison laissĂ©e forcĂ©ment Ă  l'abandon pendant tout ce temps. Et les petits, dorment-ils sur de la paille ? En tout les cas, ils sont toujours bien vivants, bien lĂ . Les gosses ne se construisent pas tout seuls et pourtant, iel avait fait son choix Ă  l'Ă©poque, de fuir l'Ă©tablissement, le village, la rĂ©gion, le pays et toute cette m*rde qui colle Ă  la peau. — Depuis quand ? Depuis quand sont-ils revenus ? Ce n'est que la premiĂšre fois qu'il voit de la lumiĂšre par ici, comme si quelque chose n'allait pas. Comme si quelque chose clochait. N'Ă©tait pas normal. Une Ă©trange lumiĂšre. Une lumiĂšre sans vie. Malsaine. Hypocrite. Qui attend quelqu'un, quelque chose, un espoir. Inexistant. Il bouillonnait Il bouillonnait sur placecomme une marmiteun chaudron aux parois lisses et douteuses qui ne laissentparaĂźtre aucune rĂ©flexion. Shae L. KeatsGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleShae L. Keats, le Lun 18 FĂ©v - 2214 Retrouver l'enfant prodige coincĂ© entre les aiguilles d'un matin gris, d'une nuit blanche et d'un jour noir. Poser la tasse un peu plus loin parce que les paratonnerres ont Ă©tĂ© laissĂ© lĂ -bas, oĂč que cela puisse ĂȘtre. L'envie d'incarner un instant un philippides, de fuir les non-mots Ă©lectrique que la nausĂ©e et les silences portent, se fait sentir. Mais l'aller-simple pour l'ailleurs n'a mĂȘme pas rĂ©ussi Ă  se suffire. Il a fallu courir, en sens arriĂšre, pour venir remonter l'horloge qui elle n'a jamais pu s'ancrer ailleurs. Les respiration paisibles de l'Ă©tage ramĂšne les considĂ©rations Ă  des tons plus bas, et si elle s'en rĂ©jouit elle n'en dira rien, il n'y a plus d'Ă©nergie pour les cris, les Ă©clats de cĂ©ramiques sur la langue. Nul avis Ă  attendre concernant un choix qui n'appartient qu'aux trois branches du mĂȘme saule dĂ©racinĂ©. Electron libre, qui tente toutes ses folies avant de fixerl'inavouablel'idĂ©al de sagesse. User les souliers, perdre la muse, elle se perd en mille barrage de liĂšge et oublie le tronc mĂȘme de la ronce, la prĂ©sence de l'enfant qu'il faudra cesser de voir comme tel. Car les grains s'amenuisent et les esprits changent, elle rĂ©alise qu'elle ne connait plus ce qu'elle n'a jamais prĂ©tendu connaĂźtre. Elle s'interroge sur les crises de fronts, si l'enfant Ă  rĂ©ussi Ă  prendre soin sans l'ombre pantin qui l'entourait. L'ombre malsaine mais qui crĂ©e des monstres de terre pour remplacer les autres en vain. L’Ɠil unique du loup ne parvient Ă  saisir l'histoire que les interrogations envoient. Et l'interpellation muette reste en suspend. ÉniĂšme piĂšce de Beckett, bien que l'envie de rejouer les beaux jours se perde en idĂ©aux plus confortables. Mais le silence couvre la scĂšne de son suaire que le regard ne supporte pas. Et il y a dans les fondations mĂȘmes des liens quelques chose qu'elle n'a pas su prĂ©server. Les voĂ»tes d'ogives se sont peu Ă  peu Ă©miettĂ©es en remords d'un cĂŽtĂ© et en reproches de l'autre. Bien trop peu de temps. Mais l'esprit du vaisseau-mĂšre n'est pas reconnu pour sa rapiditĂ©. Et les rĂ©alisations mettent un temps Ă  prendre leur sens. LĂŻnwe FelagĂŒndRĂ©fĂ©rent MaĂźtre de JeuGryffondor Re [Habitation] The Sphinx's RiddleLĂŻnwe FelagĂŒnd, le Jeu 14 Mar - 2031 SURFACE DURE — pv. regard livide. TĂȘte penchĂ©e. Le cerveau ne fonctionne plus comme avant, le cƓur non plus. L'Ăąme s'est modelĂ©e diffĂ©remment, en une sorte de coulis de miel gĂ©nĂ©reux et mallĂ©able. Plus rien ne lui ressemble. La colĂšre lui grimpe des chevilles aux racines de cheveux clairs - sans en Ă©mettre le son vulgaire. Une formule qu'on dit bien trop souvent. Il a cette incapacitĂ© Ă  assumer ses Ă©motions, bien plus que ses actes. Un roman dĂ©cousu, voilĂ  leur relation Ă©tablie jusqu'Ă  maintenant. Qu'en est-il du Leo de jadis ? Qui riait dans les couloirs de l'Ă©cole. À outrance. Qu'en est-il de ce grand garçon qui lui a tout appris lors de son intĂ©gration ? Qu'en est-il du parrain spirituel qu'il avait rĂ©ussi Ă  trouver au dĂ©but ? Et du directeur de maison ? Du concierge ou du gardien ? De son ami ? Qu'est-il devenu ? Pourquoi est-il si Ă©tranger aujourd'hui ?Le rythme cardiaque dĂ©cĂ©lĂšre au fur-et-Ă  mesure de la conversation absurde. Elle se fait sourde et muette, Beethoven et l'enfant pauvre boivent tous deux leurs paroles insensĂ©es. Il n'y a plus grand chose Ă  dire parce qu'il n'y a plus grand chose Ă  faire. Je pense que je vais partir. Allait-il seulement rĂ©agir ? Re [Habitation] The Sphinx's RiddleContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Le deal Ă  ne pas rater Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en français oĂč le ... Voir le deal Morsmordre DEPARTEMENT DES MYSTERES. » Pensine. Corbeille AuteurMessageMorsmordre Democraty is always an abuse of statistics. » Sujet Faire le bien et le faire bien. Ven 28 Jan - 708 Et voilĂ , ouverture du premier sujet d'entraĂźnement des jeunes AD. Donc je laisse l'entiĂšre libertĂ© Ă  Ted de monter son entraĂźnement comme elle l'entend, mais en fait pour ce premier cours il faudrait surtout de la pĂ©dagogie, des explications et tout, plus que des premiers sortilĂšges en eux-mĂȘmes. Que vous sachiez qui sont vos alliĂ©s et dans quoi vous vous ĂȘtes engagĂ©s.✄- Lily L. Potter Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 29 Jan - 1136 On est en mars. Il commence Ă  faire beau, et en plus il fait bon. Un dĂ©but de chaleur, la fin de l’hibernation des marmottes. Eh oui, Lily se rĂ©veille ! Et c’était super rigolo de la voir se rĂ©veiller ! Bon, ce qui Ă©tait moins rigolo c’était le contrecoup de la manifestation en fait. Elle dĂ©testait de plus en plus les lieux clos, distribuait de violentes baffes Ă  ceux qui osaient ne serait-ce qu’à peine l’effleurer, et elle Ă©tait verbalement plus violente avec ceux qui la charriaient sur sa crise d’agoraphobie. Puis de verbalement violente, elle devenait physiquement violente, et lĂ  on sentait qu’elle Ă©tait une gamine de Harpies, rien qu’à la force des branlĂ©es qu’elle collait Ă  ceux qui l’emmerdaient. Lily se transformait en vĂ©ritable terreur 8D. Le dernier en date c’était un Serpentard qui l’embĂȘtait pour 
 Excellente question, qui l’embĂȘtait quoi, et Lily lui avait collĂ© une dĂ©rouillĂ©e tellement sĂ©vĂšre qu’elle avait envoyĂ© son camarade d’un mĂštre quatre-vingt quinze et le mĂȘme poids en muscles Ă  l’infirmerie. Donc maintenant on Ă©vitait un peu de l’emmerder, ce qui Ă©tait on ne peut plus tip top pour elle. Puis le changement se montrait aussi pendant les cours, surtout celui de mĂ©tamorphoses. Appartenant Ă  ceux qui foutaient la merde pendant les cours des remplaçants, elle n’avait pas hĂ©sitĂ© Ă  remettre sĂšchement Ă  sa place un Ă©lĂšve qui voulait recommencer, et ce en plein cours de mĂ©tamorphoses. Personne n’embĂȘte le beau gosse lupin qui sera bientĂŽt son 
 Euh 
 Le mari de sa cousine Victoire. Donc son tonton ? Ouais on va dire. TONTON TED 8D. Hrm pardon XD. Enfin bref, lĂ  actuellement elle Ă©tait dans sa salle commune, dans les cachots, sous le lac de Poudlard, et malgrĂ© sa claustrophobie agoraphobie aquaphobie – ouais ça fait beaucoup – elle s’en foutait totalement, aprĂšs cinq ans d’habitude. AllĂ©luia. Bref. VautrĂ©e dans un canapĂ© Ă©meraude, elle papotait innocemment avec Meghan, genre on ne va pas se tirer dans moins de cinq minutes pour prendre part Ă  un truc illĂ©gal, ce n’est pas du tout notre style voyons, et laçait ses chaussures. De jolies Doc Martens noires. Cool. En fait elle Ă©tait vĂȘtue comme un corbeau la demoiselle, ou plutĂŽt comme une mini-punk, ce qui faisait assez sensation dans sa salle commune. Et pourquoi personne ne l’avait encore abordĂ©e ? Peut-ĂȘtre parce qu’un nounours d’un mĂštre quatre-vingt la tenait dans ses bras. Waw. Enfin en attendant, elle laçait ses pompes en papotant avec Meghan et en sirotant de la vodka tout en surveillant que son – beau et grand et sexy et magnifique et gruatant et nyutant – petit ami en reste Ă  l’eau plate. Ou gazeuse. Enfin bref on s’en branle, Ă  l’eau quoi. Se levant de son confortable canapĂ© – bon ok elle Ă©tait assise sur les jambes de Nathan – on ne la fixa pas trop longtemps parce que monsieur nounours se leva aussi en attrapant sa main. La classe moi je dis. Se hissant sur la pointe des Doc, elle posa ses lĂšvres sur celles de son Nathan – DE SON NATHAN A ELLE, espĂšce de pĂ©tasse peroxydĂ©e qui le reluque avec envie ! – et se dirigea vers la porte de la salle commune toute guillerette, couverte comme une marmotte anĂ©mique et frileuse non sans foudroyer la blondasse du regard. Ce ne fut que lorsqu’elle vit celle-ci se pencher vers une de ses camarades pour murmurer d’un air mĂ©chant qu’elle lĂącha sans s’en rendre compte la main de son petit ami pour se diriger vers la demoiselle et poser ses deux mains sur la table pour se pencher vers la sale blonde. Quoi, t’as un problĂšme ? » En effet, la façon dont tu reluques mon mec me dĂ©plaĂźt fortement. » Va falloir t’y faire. » Je suis une Potter, pas une soumise. »Silence autour d’elles. Oui, Lily venait bien d’insinuer que la blondasse Ă©tait une soumise. Pas du tout contente, celle-ci se leva, faisant abstraction de Nath qui s’approchait d’un air menaçant. T’es trop mignon mon cƓur > - qui faisait chier ceux qu'il pensait plus faible. Et bah ça c'est pas tombĂ© dans l'oreille d'un sourd. Il avait pas choisi le bon cheval... ’ Je me passerais du nombre de gars qui m'ont tapĂ© dessus, ça tient pas sur tes doigts, tu risques de te perdre dans le nĂ©ant de ta boite crĂąnienne. Pense pas ajouter les doigts de pied, y en a un peu plus. Ma copine, j'te jure que si tu l'approches je te tuerais avant qu'elle-mĂȘme ne prenne l'initiative de le faire. ’- Si tu me touches Lou te collera. Et ouais, elle est prĂ©fĂšte. Toi t'es qu'une bouse. T'as plus que ta langue pour te dĂ©fendre, mais j'vais tellement te faire baver que tu pourras mĂȘme plus embrasser ta pĂ©tasse d' stop and go avant la rĂ©partie de notre redskin favori. Pour commencer, vous avez sĂ»rement compris que ce gars allait finir les dents par terre. Bon. Ensuite, je vous signalerais qu'il y a vraiment des cons pour oser s'attaquer directement Ă  des types comme m'sieur Derek, celui que tout le monde rĂ©clame en garde du corps! D'ailleurs notre tas de muscles prĂ©fĂ©rĂ© vient de se lever subitement. Il venait aussi d'attraper le gars par le col pour le soulever du sol comme s'il n'avait Ă©tĂ© qu'un fĂ©tu de paille. De son bras non-enroulĂ© dans l'Ă©charpe of course. ’ Meghan Anna Prewett n'est pas une pĂ©tasse d'aristo. Si t'as que ça pour m'insulter tu peux toujours aller voir ailleurs, ça te coĂ»tera moins de dents. Ensuite, demande Ă  tes parents de t'offrir des yeux en plus du cerveau que tu devrais avoir commandĂ© et du dentier dont tu vas bientĂŽt avoir besoin. Y a un petit badge collĂ© sur pull, il est pas lĂ  pour faire joli. Et aux vues de comment Lou t'apprĂ©cie, on risque pas de me voir collĂ© Ă  ta place. ’Monsieur Pustules ne devait pas avoir grand chose Ă  dire en plus. Parce qu'il se contenta de cracher sur le visage crispĂ© de colĂšre de Mister Gray. Ça sonne pas erreur lĂ ? Y en a qui ont pas peur pour leurs vies. Le bras en Ă©charpe ne le fut soudainement plus - malgrĂ© les os encore fragiles, fuck la constitution du mĂ©tabolisme de Lycanthrope - et Derek balança son poing dans la joue du gars. Et avant que celui-ci ait pu rĂ©pliquer, il fit faire Ă  son visage un aller simple sur la table oĂč ses pieds Ă©taient prĂ©cĂ©demment croisĂ©s. Puis il attrapa les cheveux du gars pour relever sa tĂȘte. Autour d'eux dans la salle commune plus personne ne parlait. Personne ne venait prendre la dĂ©fense de cet abruti. Trop peur de Derek. Et puis, il l'avait cherchĂ©. ’ Un ĂȘtre humain adulte normalement constituĂ© possĂšde un total de 32 dents. Tu viens de rejoindre la race des cons adultes qui n'en ont plus que 31, fĂ©licitations. Et si t'es pas sage, tu vas pouvoir inaugurer la race des cons adultes qui n'en ont plus du tout. ’Il laissa retomber la tĂȘte du gars, attrapa son sac et sortit. Personne ne le suivit. Personne ne lui demanda oĂč il pouvait bien aller Ă  cette heure tardive. Il allait Ă  la rĂ©union de l'AD se passer un peu les nerfs. Bon Derek, promets que tu seras sage. On voudrait pas d'ennuis avec tes gentils copains. Le skinhead gravit rapidement toutes les marches et entra dans la salle sur demande sans faire de cĂ©rĂ©monie. Il avait la mine grave. Pourquoi lui cherchait-on toujours des embrouilles?! Lorsqu'il entra, il vit qu'il n'Ă©tait pas le premier arrivĂ©. Lily et Nathan Ă©taient dĂ©jĂ  lĂ . Meg ne devait pas tarder, ou alors elle fouinait dans un coin et il ne l'avait pas vue. Un jeune Poufsouffle Ă©tait lĂ  aussi. IdentitĂ© inconnue. Le Gryffondor salua Nathan et Lily d'un signe de tĂȘte. Il sourit aux paroles du jeune homme dont il ne connaissait pas le nom. Il lui tapota l'Ă©paule de sa main retournĂ©e dans l'Ă©charpe en riant doucement. ’ La vie Potter Raven crois-moi c'est pas du gĂąteau, mais c'est assez distrayant. Laisse-les faire ce qu'ils veulent, ils ne sont pas bĂȘtes et savent se raisonner... Et puis je les comprends. Y a mieux qu'un placard Ă  balais. ’Il se mit Ă  rire doucement. Ça allait mieux. Il ne manquait plus que SA Meg chĂ©rie d'amour et tout serait parfait, ou presque. DĂ©pĂȘche-toi beautĂ©, Derek l'a faim de toi te voir Lucy Robinson Time to save the universe again then, isn't it ? » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 30 Jan - 552 Mais oĂč pouvait donc aller Lucy, toute seule ? Voyons, c'est Ă©videeeent, elle va sauver le monde ! Oui, Lucy a beauuuucoup d'espoir et quand elle part dans ses dĂ©lires Ă  elle et bah elle pars vraiment trĂšs, trĂšs loin. Dans sa tĂȘte actuellement c'Ă©tait un peu genre une james bond girl, genre ultra dangereuse et tout et tout bon un peu moins sexy que les jmg la lucy, mais quand mĂȘme... qui doit pas ĂȘtre suivie sinon elle zigouile l'espion. Invincible quoi. Bon, une james bond girl perdue parce qu'elle retrouve pas se foutu couloir de merde. C'est pas sa faute non plus si elle a pas de gps intĂ©grĂ© dans le petit orteil gauche, et qu'en plus on lui a pas filĂ© de plan. Elle n'arrivera jamais vivante Ă  la rĂ©union... Finalement super-Lucy a rĂ©ussi a retrouver son chemin, fallait prendre l'escalier et ensuite tourner Ă  gauche et non Ă  droite comme elle l'avait fait juste avant. Elle regarda la porte soigneusement cachĂ©e derriĂšre la tapisserie, priant dans toute les langues pour que ce ne soit pas un placard Ă  balai ou un autre truc du genre ultra Ă©troit, ultra sans lumiĂšres, etc. Mais plutĂŽt la planque de super hĂ©ros avec tout plein de gadget partout, ou un vrai camp d'entraĂźnement oĂč tu peux Ă©clater en vrai les cobayes Ă  qui t'envoie les sorts. Lucy serait elle devenue vraiment violente ? Nan, c'est toujours presque la rĂ©incarnation de Ghandi, mais la non-violence ça marche pas donc elle passe aux stades supĂ©rieurs. Et puis la magie, c'est pas vraiment violent, vus que tout le monde est Ă  presque Ă©galitĂ©, pas comme avec des muscles. Elle poussa la porte, les yeux pleins de curiositĂ©s, si ça tombe elle sera mĂȘme la premiĂšre arrivĂ©e !DĂ©cetpion. DĂ©jĂ , il y a dĂ©jĂ  des gens. Et puis des livres, des toooonnes de livre jusqu'au plafond, pas que Lucy soit analphabĂšte ou livrophobe. Mais c'est pas avec une bibliothĂšque bien garnie qu'on va rĂ©ussir Ă  sauver le monde. Elle salua le couple d'un sourire, et dĂ©posa un bisou sonore sur la joue de son Derekounet parce qu'il a grave la classe maintenant qu'il est prĂ©fet et Lou aussi, cey ses coupaing a elle qui sont les meilleurs *-* en faisant attention Ă  ses blessures de guerres. T'Ă©tais oĂč ?! J't'ai cherchĂ© partout moi tout Ă  l'heure. J'ai mĂȘme faillis mourir en me perdant dans les couloirs ! »Hop, bouille faussement scandalisĂ©e avec les mains sur les hanches. Vilain Derek qui n'a pas attendus Lucy. Vi-lain. A vrai dire elle avait cherchĂ© deux minutes puis elle avait trouvĂ© quelqu'un d'autre qui acceptĂ© de la supporter genre Dante Ă  tout hasard, et elle n'avait pas cherchĂ© dans la salle commune des gryffons, ni dans beaucoup d'endroits et recoins du chĂąteau d'ailleurs, la patience c'est pas son truc Ă  la Blondinette. Et de toute façon elle Ă©tait totalement incapable de faire la tĂȘte Ă  Derek ou de lui en vouloir pour quoi que ce soit. Et c'est pas un couloir qui allait rĂ©ussir Ă  tuer Lucy, elle est in-vin-ci-bleuh je vous rappel. Lucy abandonna Derek, vagabondant entre les bibliothĂšques se demanda sĂ©rieusement Ă  quoi ça pouvait servir et en pensant que celui qui avait fait apparaĂźtre tout ça il devait avoir un problĂšme psychologique, vus qu'il n'y avait mĂȘme pas de petits aiglons tout timide en train de se gaver de littĂ©rature dans la salle, c'Ă©tait un de ceux dĂ©jĂ  lĂ  qu'elle logiiiique Princesse. Beurk, beurk des livres poussiĂ©reux, elle Ă©tait venu lĂ  pour casser du mangemort, manger des petits serpentards pas beaux. Pas pour avoir un cours d'histoire de la magie ou de littĂ©rature. DĂ©pitĂ© Lucy fis mine de s'interesser aux livres entreposĂ©s. Tiens un Andras. Stop. On repose le livre. A Babord touuuuute ! ANDRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAS ! »Qu'elle classe et qu'elle discrĂ©tion Lucy quand mĂȘme. Mais c'Ă©tait vraiment un crie du coeur, c'Ă©tait peut ĂȘtre la seule Ă  ĂȘtre totalement hystĂ©rique dans la piĂšce, mais elle s'en fichait totalement. Et vazy qu'elle se jette pas qu'Ă  moitiĂ© dessus et qu'elle manque de l'Ă©touffer en se pendant Ă  son cou uh pourquoi tout le monde fait genre trois mĂštres de plus qu'elle.. dans un de ses super-giga cĂąlin tellement elle est trop contente de le voir. D'ailleurs, ça se voyait Ă  son immense sourire puissance dix mille qu'elle Ă©tait contente de retrouver son ami Ă  elle ici. Elle Ă©tait toujours contente de voir Andras, il y avait trop de bon souvenir auquels il appartenait. Andras c'Ă©tait sa compote Ă  elle, celui qui l'appel pompotte, elle le bouffe. C'est trop bien que tu sois la aussi ! Pourquoi tu m'l'avait pas diiiiis ! Tant pis. Mais quand mĂȘme c'est Ă©noooorme ! »Pauvre de vous, la pile Ă©lectrique et sa voix qui part dans les aigus est en marche, rien ne l'arrĂȘte, elle a un monde Ă  sauver. Et un ami Ă  Ă©touffer dans ses bras avec amour Lysander Dragonneau Only two synonyms ? I'm losing my perspicacity ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Lun 31 Jan - 523 Lysander Ă©tait vautrĂ© sur un canapĂ© dans la salle commune de la tour des Serdaigles. Il avait un peu les cheveux Ă©bouriffĂ©s - et ça ne lui allait pas mal, ma foi - ainsi qu'un sourire aux lĂšvres. Oui, il souriait. D'habitude impassible, l'air toujours rĂȘveur, il arborait cette fois un sourire en coin. TrĂšs lĂ©ger. Mais un sourire. D'ailleurs, ce curieux petit sourire sucitait beaucoup de questions. On lui avait dĂ©jĂ  demandĂ© au moins trois fois s'il avait rencontrĂ© un joli Bisounours dans son monde parallĂšle. Pas de Bisounours dans son monde, mais cette idĂ©e lui plaisait bien. La raison de son "bonheur" d'aujourd'hui Ă©tait autre. Aujourd'hui, c'Ă©tait le grand retour de l'AD. En digne fils de Luna Lovegood, Lysander avait Ă©tĂ©, tout petit, bercĂ© par les rĂ©cits trĂšs enthousiastes de sa mĂšre lorsqu'elle lui contait les rĂ©unions de l'ArmĂ©e de Dumbeldore. Il y avait tant de choses... La Salle sur Demande, les cours dirigĂ©s par Potter, le systĂšme des piĂšces... Bref, tout cela l'avait captivĂ©. C'Ă©tait presque devenu un mythe, tout comme le Ronflax Cornu. Mais voilĂ  que grĂące Ă  son grand ami en taille et en Ăąge notamment Ted Lupin, cette association de dĂ©fense revivait. Certes, cela voulait dire que les temps n'Ă©taient pas au plus haut de leur forme, mais c'Ă©tait quand mĂȘme une bonne chose, cette armĂ©e. Et aujourd'hui, c'Ă©tait la premiĂšre rĂ©union depuis bien des annĂ©es. Cooool, non ? Qui vient faire un tour dehors ? » demanda le Dragonneau. Mouarf, pas envie. Moi perso, je reste lĂ . »Bon, il avait reçu le message. Les autres prĂ©fĂ©raient rester lĂ , bien au chaud. Mais le Serdaigle se sentait l'envie de sortir un peu, de prendre l'air. Passant chercher de quoi se couvrir un peu, Lysander descendit de la tour et dĂ©boula dans le parc oĂč - comme il s'y attendait - il n'y avait pas grand monde. LĂ , il marcha un peu, le nez en l'air. Le ciel Ă©tait beau. Le silence Ă©tait apaisant. Il n'avait pas l'air d'un type qui allait participer Ă  une rĂ©union illĂ©gale. Car c'est bien illĂ©gal, cette rĂ©union de l'AD. Mais bon, comme dit le dicton... Jamais deux sans trois. Dragonneau avait participĂ© Ă  la fĂȘte clandestine dont il gardait un bon souvenir on se demande pourquoi XD et aussi Ă  la manifestation, dernier regroupement de jeunes en date. Quand il rĂ©flĂ©chissait, il se disait qu'il Ă©tait un vilain garçon qui faisait des vilaines choses. Vilaines... Du point de vue de l'autoritĂ©. Lui Ă©tait content de montrer que justement, il n'Ă©tait pas content. Car, si le grand rĂȘveur avait la tĂȘte dans les nuages, il n'en avait pas moins les pieds sur terre, et avait Ă©galement un avis et un mot Ă  dire. À sa beau gosse glandait dans le parc, tout seul. On aurait pu croire qu'il Ă©tait Ă  la recherche de quelque chose. Du bonheur ? De lui-mĂȘme ? Non non, il cherchait juste Ă  faire passer le temps, en dĂ©finitive. Dans cette atmosphĂšre de calme, il aurait bien fait un truc dingue. Lucy, t'es dispo' pour danser un petit rock dehors comme ça ? Ou mĂȘme un ballet, si tu prĂ©fĂšres. Qui chante avec moi du Nirvana ? Qui veut venir chercher Ă  quoi ressemblent les nuages ? Mais non, personne. Il Ă©tait seul, seul avec sa montre qui bientĂŽt lui indiqua que c'Ă©tait l' il se prĂ©senta devant la vieille tapisserie, il n'y avait personne. Une fois qu'il eut fait apparaĂźtre la porte, le Serdaigle s'empressa d'entrer. Il aimait bien cette piĂšce. DĂ©jĂ , il y avait des bouquins. Pleins de bouquins. Studieux comme tout bon Serdaigle qui se respecte, il Ă©tait, sans ĂȘtre un rat de bibliothĂšque, quelqu'un qui apprĂ©ciait les livres, ou plutĂŽt ce qu'on trouvait dans les livres. Ça le rendait dingue d'ailleurs, de ne pas pouvoir tous les lire. C'Ă©tait comme renoncer Ă  un savoir pour en valoriser un autre. Mais bref. ll y avait donc dans cette piĂšce des livres, des canapĂ©s, et des gens en question n'Ă©taient pas nombreux. Deux Gryffondors, l'un prĂ©fet, l'autre inconnue au bataillon, ainsi qu'un Poufsouffle qu'il ne connaissait pas non plus. Et puis il y avait aussi Nathan et Lily - suis-je vraiment obligĂ©e de citer deux noms lorsque deux suffisent ? - le beau gosse et la belle gosse. Bref, du beau monde. Des gens qu'on s'attendait Ă  trouer ici. Et d'autres pas. Mais bon, aprĂšs tout, ils Ă©taient ici pour apprendre ensemble pleins de belles choses, et aussi Ă  mieux se connaĂźtre. Comme les alcooliques anonymes, avec le problĂšme de boissons et l'anonymat en moins. Pareil mais en diffĂ©rent quoi. Pour le moment, il Ă©tait le seul Serdaigle. 'Lut tout le monde. »Pris soudain de l'envie irrĂ©sistible d'aller voir si ces canapĂ©s Ă©taient confortables, Lysander s'Ă©croula sur l'un d'entre eux dans une position tout Ă  fait normale, Ă  savoir les genoux pliĂ©s sur l'accoudoir, les pieds dans le vide, allongĂ© en long sur le sofa, la tĂȘte sur le second canapĂ©. La meilleure technique pour pouvoir occuper tout seul un espace prĂ©vu pour plusieurs personnes. Qu'on Ă©tait bien lĂ -dessus. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 1 FĂ©v - 505 "MiaĂŽw?"Lucy se retourna sur le flanc avec un grognement, encore perdue dans les brumes de son rĂȘve, et soupira sans s'en rendre compte, dĂ©rangĂ©e en pleine phase de sommeil paradoxal. Le sommeil paradoxal c'est sacrĂ©, bon sang! Elle se roula sous la couverture, et termina si bien son rĂȘve que son oreiller alla rejoindre, par terre, le livre lu la veille, ses vĂȘtements en vrac, sa brosse Ă  cheveux, quelques menus objets scolaires, un panier, et la housse de couette."MIAAW"La jeune fille se rĂ©veilla en sursaut, d'un bond, avec une sorte de grognement inarticulĂ© censĂ© signifier, en gros, c'est bien gentil tout ça mais je dors. La Poufsouffle tendit la main vers le rĂ©veil pour voir l'heure, mais elle n'eut pas le loisir d'attraper l'objet une boule de poils blanchouillarde venait de se loger contre son menton en vibrant. Si, comme un tĂ©lĂ©phone. Lucy sourit malgrĂ© elle et caressa la fourrure de Hoshi, occupĂ©e Ă  patouiller sur son humaine. Sans les griffes Hoshi. Puis le petit chat, comprenant que l'humaine n'Ă©mergeait pas, passa de l'autre cĂŽtĂ© et patouilla cette fois sur son dos. Bon Dieu Hoshi, SANS LES GRIFFES. Ronronnant Ă  pleine gorge, des fois que Lucy aurait eu l'idĂ©e saugrenue de se rendormir, la boule de poils vint nicher son museau dans le cou de la jeune fille qui maudit intĂ©rieurement le jour oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'adopter cette bĂȘte qui la dĂ©rangeait en plein cĂąlin, en plein rĂȘve et aussi en plein sommeil. Non, pas les trois en mĂȘme temps, pas encore. Bref. Lucy attrapa sa bestiole d'un revers de main et soupira en la posant contre sa poitrine, comme une peluche, avant de se rendormir. Elle sentit, dans sa lĂ©thargie, Hoshi se hisser hors de ses bras pour sauter du lit et sourit; elle Ă©tait probablement partie embĂȘter quelqu'un d'autre..."QUOI?"Lucy glapit en repliant son genou droit. Une chose non identifiĂ©e s'Ă©tait agrippĂ©e Ă  son pied; une chose qui piquait et semblait aussi humide. Une chose qui chatouillait maintenant son autre pied. La Poufsouffle lĂącha en bloc tout ce qu'elle connaissait en matiĂšre de jurons et autres scrogneugneus, mais Hoshi, qui avait appris Ă  connaĂźtre Lucy, ne broncha pas et vint lui lĂ©cher la joue, en ronronnant encore. Puis se leva et lui tourna autour en patouillant. Oui boule de poils, c'est bon, gagnĂ©...Lucy se leva en bĂąillant et alla nourrir son chat, avant de l'observer en souriant. Kro meugnonne...Hoshi, une fois son repas terminĂ©, remonta sur le lit et s'installa au niveau de l'oreiller, han c'est trop bien l'oreiller, pas vrai? Lucy allait faire de mĂȘme lorsqu'elle avisa l'heure. Trop taaard, merci Hoshi! Elle s'habilla donc tranquillement, alla prendre son petit dĂ©jeuner Ă  cĂŽtĂ© d'un Poufsouffle surexcitĂ© qui agitait dangereusement sa fourchette en braillant"Je suis un T-Rex!"...Certes. Il Ă©tait en train d'expliquer Ă  un prĂ©fet venu aux nouvelles que c'Ă©tait un pari lorsque Lucy s'Ă©clipsa. La suite de la journĂ©e se dĂ©roula plus ou moins normalement, quelques cours, quelques devoirs, rien que du bien naturel...quelques pĂ©tasses aussi. EspĂšce en voie d'apparition, vit en meute, cri le gloussement. Synonyme, dinde. La jeune fille n'attendait en fait qu'une chose, deux petites fameuse, euh, "Association de DĂ©fense" disons, n'est ce pas, Ă©tait le fait du pĂšre de Lily, Harry Potter, Ă  l'Ă©poque de sa scolaritĂ© Ă  Poudlard, et face au peu d'action du MinistĂšre, face aux Mangemorts potentiels et Ă  la dinde rose Inquisitrice, Ted Lupin avait dĂ©cidĂ© de la remettre en place. Bonne idĂ©e Teddy, ça nous fera des choses Ă  raconter Ă  nos petits-enfants...Lucy finit donc par trouver l'entrĂ©e et pousser la porte bien cachĂ©e de cette salle, et mesdames et messieurs, nous avons recueilli les premiĂšres rĂ©actions."Oh, je voyais ça plus petit. C'est grand en fait...et puis c'est beau!!"Lucy tourna plus ou moins sur place quelques instants, le nez en l'air. Ooh c'Ă©tait superbe tout ça, une salle magnifique, et des gens dedans. Des gens qu'elle connaissait pour la plupart, Ă  savoir Lily Potter, sa cousine adorĂ©e chĂ©rie d'amour, celle qu'elle avait tout d'abord Ă©vitĂ©, rebutĂ©e par l'exubĂ©rance de la jeune fille, et qu'elle apprĂ©ciait fortement dĂ©sormais. Son copain Nathan Raven, le nounours de Lily, toujours aussi...nounoursien et pelucheux. Lucy ne le dĂ©visagea pas, vu les regards assassins qu'il lui lançait parfois, il aimait pas qu'on le regarde. Tant pis mon gars. Il y avait aussi Derek, miraculeusement recollĂ© aprĂšs son, euh, fracassage en rĂšgle Ă  la manifestation -Sader ça adhĂšre!!- et une Gyrffondor que Lucy ne connaissait pas vraiment. Enfin dĂ©boula Andras, un joli Poufsouffle que Lucy trouvait trĂšs gentil, et qui l'amusait car il avait la manie de virer au rouge ou au rosĂ© en lui parlant...timide, mais brave gars. La Gryffondor lui sautait au cou comme une furie lorsque Lucy remarqua le dernier arrivĂ©, enfin, le dernier avant elle, dĂ©jĂ  avachi dans un canapĂ© dans une pose bien peu conventionnelle, avec des cheveux Ă©bouriffĂ©s du genre "coiffĂ© avec un pĂ©tard Weasley", mais ça lui allait plutĂŽt bien. Vous avez compris qui c'Ă©tait? Nan? Pas grave, on va la refaire. Lysander Dragonneau s'Ă©tait affalĂ© dans un sofa et rĂ©ussissait l'exploit d'en occuper deux Ă  la fois. Lysander Dragonneau, l'aiglon prĂ©fĂ©rĂ© de Lucy et pour cause, y en avaient pas tant que ça qui l'embrassaient dans le parc. Au passage, remercions Lily qui pourra devenir marieuse si jamais elle est au chĂŽmage, elle sait caser les gens. Lucy acheva donc sa discrĂšte entrĂ©e"Bonjour tout le monde..."Et remarqua qu'on ne la remarquait pas. Bon, en soi elle s'en foutait, alors elle alla droit vers Lysander et lui sourit"Hello...tu me laisses un peu de place?"Puis la Poufsouffle s'assit Ă  l'endroit qu'il avait laissĂ© libre, ben ouais, tu ne peux pas occuper TOUT le sofa Ă  toi tout seul cher aiglon, et balaya un peu la salle du regard. Oui, c'est grand. Oui, elle l'a dĂ©jĂ  dit et alors? C'est vraiment s'Ă©tira. Mon dieu ce sofa, c'Ă©tait encore mieux que son oreiller. Il ne manquait que la fonction bouillotte Ă  ce canapĂ© et la fonction bouillotte Ă©tait plus ou moins assurĂ©e par le Serdaigle qui larvait juste Ă  sa droite. Lucy pencha la tĂȘte pour l'observer puis, amusĂ©e, lui effleura les cheveux de la main -ben ouais, il est allongĂ©, elle est assise donc elle est plus haute, CQFD- et lança avec un petit sourire"Bien installĂ©?" Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Jeu 3 FĂ©v - 1013 Domi fixa les deux Serdaigles avec une mine quelque peu surprise. Lily Ă©tait quoi ? Une trainĂ©e qui sortait avec un punk dĂ©bile aux allures d’ours mal lĂ©chĂ© ? C’était bien ça ou 
 ? Les deux aiglons semblaient en pleine crise de nerf et parlaient ensemble en piaillant tels les poulets qu’ils Ă©taient. Les pauvres n’avaient pas encore remarquĂ©s la prĂ©sence de la petite quatriĂšme annĂ©e qui les reluquait d’un air mauvais. Apparemment, le grand brun semblait dire que Lily avait envoyĂ© un de ses potes Ă  l’infirmerie. Domi secoua la tĂȘte, le pote en question Ă©tait un parfait chieur et sa cousine avait Ă©tĂ© d’une grande aide au peuple de Poudlard en Ă©liminant ce mec des couloirs du chĂąteau, du moins pour un certains temps. Et donc, aprĂšs avoir rendu un service public assez important, voici que miss Potter se faisait insulter. Quelle mesquinerie, je vous jure >.<. Lucy fila un coup de coude plus ou moins discret Ă  Andras pour qu'il se prĂ©sente Ă  son tour, un peu de soutient ne lui fera pas de mal ! Elle s'installa un peu plus confortablement dans le canapĂ©, scrutant la porte d'entrĂ©. Alleeez, vieeens, steuplaßßßt... Si Ă  trois tu ramĂšne pas tes jolies fesses illico, elle te boude. Uuuuuuuun... Deuuuux... Deuuuux et demi... Allez, dĂ©pĂȘeeche, c'est pas juste qu'il n'y ait que elle sans son amoureu... Deux trois-quaaaaaarts... Eeeeet... Trois. Pfeuh. Pas juste. Mine déçu du cĂŽtĂ© de Lucy qui voulait vraiment voir rappliquer son Dante sur le champ. Peut ĂȘtre qu'il est pas au courant aprĂšs tout. Tout simplement. InvitĂ©InvitĂ© Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Sam 5 Mar - 2159 Malheureusement pour toi, Lucy, ce ne fut pas le beau cul de Dante qui vint ravir ta vue sur le seuil de la porte. Non non, ce fut celui d'une blonde, nĂ©anmoins trĂšs joli aussi celon certains point de vue, qui put s'incruster dans ton champ de vision si tu regardais par lĂ . Une Lou Ă©chevelĂ©e, d'ailleurs, Ă  l'air quelque peu essoufflĂ©e. - BIP, retour en arriĂšre -Ombrage. Bouh, qu'elle est moche, vilaine, pas belle, rose et tout le toutim. RidĂ©e, bien Ă©videmment. Enfin bref, notre chĂšre et bien aimĂ©e inquisitrice. Pas foutue d'affirmer un tant soit peu d'autoritĂ©, celle lĂ . La preuve, il suffit qu'elle vire une blondasse et un prof' en se sentant toute puissante pour que BAM, tout lui explose Ă  la figure. Manifestation qui s'ensuit. Et qui, comme bien des manifestations, dĂ©gĂ©nĂšre. La pauvre inquisitrice, qui voit son chĂąteau de carte s'effondrer sous ses yeux, ne fait ni une ni deux Elle appelle des brigadiers magiques. Qui cassent tous, ces crĂ©tins. Mobilier comme Ă©lĂšves. Et lĂ , dieux apparaĂźt. Non, plutĂŽt la ministre. On emporte les Ă©lĂšves cassĂ©s Ă  l'infirmerie pour une rĂ©paration en ordre, et lĂ , sur un petit lit, telle blanche neige version blonde aux cheveux blonds matraquĂ©e. Ou, pour faire plus court, sĂ»r, notre chĂšre inquisitrice n'a pas gagnĂ© Ă  la donne. Il n'empĂȘche que si tĂŽt rĂ©tablie, notre Lou internationale a normalement un rendez-vous en tĂȘte Ă  tĂȘte avec le crapaud rose, qui, d'une humeur massacrante, n'hĂ©siterait pas Ă  lui faire copier une phrase de 250 mots, comme si sa main n'Ă©tait pas dĂ©jĂ  assez charcutĂ©e. Sauf que, non, c'est pas possible. Bawaii, Madame, Ă  la mĂȘme heure il y a regroupement de l' ArmĂ©e de Dumbledore pour les incultes. L' reformĂ©e. L' nouvelle, dirigĂ©e par notre Ted Lupin bien aimĂ©. Et vous vous doutez bien qu'il est impensable, inimaginable, IRREALISABLE qu'elle n'y soit pas. Surtout que sa Lulu l'y attendait. Et que Lulu elle avait une patience Ă  deux clous et elle allait la torturer jusqu'Ă  ce que mort s'ensuive si elle ne venait pas. Et que, elle prĂ©fĂ©rait aller se pendre plutĂŽt que de rater ça. Enfin bref, c'Ă©tait pourquoi elle avait soigneusement Ă©laborĂ© tout un plan. Celon les thĂ©ories, Ă  cette heure-ci prĂ©cise, l'inquisitrice-chĂ©rie-d'amouur serait dans son bureau en pleine conversation avec sa thĂ©iĂšre. Elle attendrait, sagement assise, que Lou lui arrive servit sur un plateau d'argent en marchant sur ses petites jambes pour aller lui faire une courbette et un baise-main, tant qu'on y Ă©tait, avant de s'assoir pour copier soigneusement des graffitis inutiles qui lui scrabouillaient la main - C'Ă©tait moche et ça faisait mal, en fait -. MAIS LA ! GĂ©nie Lou intervenait. En fait, il lui suffisait d'utiliser ses petites jambes, non pas pour se rendre dans le bureau d'Ombrage, mais dans la salle sur demande, en compagnie de tous ses camarades rĂ©sistants et frĂšres de coeur ! MOUAHAHAHA. Bon ok, elle aurait quelques ennuis aprĂšs. Mais pour quelques ennuis en plus, sincĂšrement.. Ca lui passait au dessus. Ding-dong, c'est l'heure. Euhh.. En fait, c'est mĂȘme plus que l'heure. Mais bon sang, c'est trop compliquĂ©, pour toi, de regarder l'heure, Lou ?! La blonde bondit du fauteuil dans lequel elle Ă©tait avachie, franchit la porte en manquant de se la prendre dans la figure, et s'engage un sprint dans les couloirs. Mais, que vois-je ? Oui, au fond du couloir, des talons roses ! Demi-tour toutes, on prend un autre chemin, peut ĂȘtre un peu plus long, mais sans menaces Ă  talons dans le champ de arrivĂ©e devant la statue. Qu'est-ce qu'il faut faire dĂ©jĂ  ? Ah, ouais. Penser trĂšs fort Ă  ou tu dois ĂȘtre, et patati et patata, tout en marchant devant le mur comme un demeurĂ©. La lionne s'exĂ©cute et, OUF, miracle, une porte. Nous sommes sauvĂ©s. - DING, retour dans le prĂ©sent. -Se dĂ©cidant enfin Ă  rentrer, notre Lou internationale lance un petit '' Salut '' Ă  la cantonnade parce que la flemme de dire bonjour Ă  tout le monde, avant de se diriger vers SA Lulu, en grande conversation avec Andras. Tiens, Andras fait parti de l'AD ? Ah, mais c'est sympa ça ! Elle eut juste le temps d'entendre le salut de Lucy qui ressemblait Ă  une prĂ©sentation militaire. '' T'aurais put trouver mieux pour te prĂ©senter, ça fait un peu coincĂ©e, lĂ  ! '' Lui dit-elle, avec un sourire moqueur, mine-de-rien. Lucy Weasley You have ten fingers ? Oh, me too ! Let's be friends ! » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Dim 6 Mar - 637 Lucy allait adresser la parole aux nouveaux venus, lorsque Lily s'adressa Ă  elle, et la jeune fille souleva un sourcil. Un placard, mais pour quoi faire? Ah...Pour...aaah. Lucy venait de comprendre et, bien qu'elle le refusĂąt, une vilaine rougeur monta sur ses joues. Un placard, mais, Lily avait vraiment de drĂŽles d'idĂ©es, ce ne devait pas ĂȘtre bien confortable et puis, un placard c'est pas bien grand, en plus...pas pratique tout ça. Comment ça, qu'est ce qu'elle en savait? Bonne question, en fait elle n'en savait rien, elle n'avait jamais essayĂ©, elle. Hein Lily? Restons classique, un lit suffira trĂšs bien. En attendant, elle rougissait. Une Poufsouffle rouge, regardez tous car c'est rare, d'ordinaire ces bestiaux-lĂ  Ă©taient plutĂŽt du genre jaunĂątre, vous savez, un peu la couleur des boutons d'or, du jus d'orange industriel ou des colorants de ces bonbons crocodiles auxquels Lucy avait voulu apprendre Ă  nager quand elle Ă©tait petit. Ils s'Ă©taient dissous, les salopards. Enfin, en tous cas les Poufsouffles Ă©taient plutĂŽt du genre jaune. C'Ă©tait d'ailleurs Ă©trange, quand on y pensait...pour ĂȘtre d'une telle couleur, ils avaient des problĂšmes de foie? Logiquement, les Serpentards auraient dĂ» ĂȘtre les jaunes, vu ce qu'ils buvaient ils avaient de quoi se flanquer quelques cirrhoses. Mais bon, eux ils Ă©taient verts. Vu ce que Lily pouvait s'enfiler comme bonbons, cela ne surprenait pas non plus d'ailleurs. Et les Serdaigles. Les bleus. Ils venaient de Pandora, bwahaha. Nan, pas de Pandora Hearts, de Pandora tout court! Et les Gryffondor...rouge sang. Comme Drek le jour de la manifestation d'ailleurs...Il allait mieux Derek? Lucy lui coula un regard et constata que oui, il semblait un peu mieux que lorsque la Ministre avait attendant, Lily parlait encore. Elle parlait mĂȘme du cadeau de sa maman, mais euh, c'Ă©tait quoi ce cadeau? Et pourquoi que de sa maman, oncle Harry Ă©tait prompt Ă  faire des cadeaux aussi, pour ce que Lucy en savait...ah mais ouii. Les souvenirs revinrent d'un coup Ă  Lucy qui, pauvre Ăąme innocente, avait allĂšgrement refoulĂ© dans son inconscient le cadeau de Lily. Ben oui. Des prĂ©servatifs; elle avait oubliĂ© ce dĂ©tail, tiens, mais comprenait maintenant pourquoi c'Ă©tait le cadeau de la maman. Harry Ă©tait un peu...protecteur, comme pĂšre. En attendant...EUH? Elle avait bien suivi? Lily lui proposait de lui prĂȘter un...chose? Lucy rougit jusqu'Ă  la racine des cheveux et jeta un somptueux regard assassin Ă  sa cousine. Je te hais, j'avais pas l'intention de me transformer en tomate aujourd'hui, cousine...I HATE YOU. Et euh...Lucy regarda Lily de travers"Ben, je crois pas en avoir l'usage immĂ©diatement Lily. Mais je prends note."Petit sourire paillard. Mais elle Ă©tait quand mĂȘme ROUGE. Rhaah Lily, pourquoi trouvait-elle toujours un nouveau moyen de la faire bisquer, hein? En attendant...c'Ă©tait Lysander qui prenait la parole. Oh, il ne dormait pas alors? Hm, mais alors...ils pourraient peut-ĂȘtre tester ce canapĂ©, non? C'Ă©tait sĂ»rement sympa et...LILY SORS DE CE en attendant, Lysander demandait un cadeau Ă  Lily. SATYRE. Lucy sourit, un peu embĂȘtĂ©e. Mais Ă©videmment qu'elle le lui prĂȘterait mais euh, pas tout de suite, n'est ce pas? Ce d'autant plus que son pĂšre avait l'esprit ouvert...jusqu'Ă  un certain point. Et que Lily se dĂ©brouillait bien toute seule pour mettre le bazar; autant ne pas devenir sujet de ragots en plus! Ah. Un ange lui souriait, que faire? ...Ouais nan, en fait c'Ă©tait ce Serdaigle que Lucy connaissait trĂšs trĂšs mal, le dĂ©nommĂ© Lysander, l'ennemi jurĂ© du chat Hoshi. Qui lui demandait de s'approcher pour qu'il lui demande un truc. Nan mais NAN, j'ai dit plus tard, le cadeau de Lily...Ah, mais ce n'Ă©tait pas ça, il la questionnait sur le blaireau lĂ -bas. N'y voyez nulle mĂ©chancetĂ©, c'est juste que c'Ă©tait un Poufsouffle et Lucy rĂ©pondit tout touut bas"C'est Andras Singh, un Ă©lĂšve de Poufsouffle...trĂšs timide, mais gentil tout plein, plutĂŽt le genre frĂ©quentable."Petit sourire Ă  Lysander. Pas jaloux hein?Et la Gryffondor proposait de se prĂ©senter. Ca faisait alcooliques anonymes? Nathan on t'appelle...non, rien du tout. Lucy, donc. LUCY? Une Lucy plus ĂągĂ©e qu'elle, en plus, baaah. Lucy Weasley allait se prĂ©senter Ă  son tour quand une autre Gryffondor fit remarquer qu c'Ă©tait coincĂ©. Nan, classique, nuance. D'ailleurs, Lucy prit la parole Ă  son tour"Lucy Weasley, cinquiĂšme annĂ©e, Poufsouffle. Pas de chance, Ted, tu as deux Lucy dans ton groupe..."Petit sourire. Bon alors, Lucy number one c'Ă©tait elle et l'autre serait Lucy II. Ou bien, elle c'Ă©tait Lucy et l'autre serait Lulu? Rhoh et puis, dĂ©brouillez vous trĂšs chers, elle attendait juste le dĂ©but lĂ . Dominique Weasley Forgive me father for I have sinned, I have sinned a lot. » Sujet Re Faire le bien et le faire bien. Mar 8 Mar - 654 Qui c’est qui t’as fait ça, que j’aille lui exploser la gueule ? »Mon Dieu, tout de suite la violence ! Bon, visiblement, Domi aurait mieux fait de toute suite filer vers Mel’ plutĂŽt que de se ramener vers Lily. DĂ©jĂ , sa cousine prenait une teinte inquiĂ©tante et ses yeux se changeaient en glace. Wachhhha, ça fait peur. Garde tes beaux yeux noisettes, la glace ne te vas pas du tout. Domi sourit, tendue, inspira, resourit, moins tendue. Au secours, Lily va pĂ©ter une durite 
 AprĂšs s’ĂȘtre calmĂ©e, en deux secondes top chrono, Dominique sourit calmement Ă  sa cousine, faisant mine de rien. Faire mine de rien, c’était sa spĂ©cialitĂ©. Faire genre que tout va pour le mieux malgrĂ© cet Ă©lancement Ă  la mĂąchoire. Faire genre que le monde est beau alors qu’il nous donne envie de vomir. VoilĂ  la force de Dominique Weasley Faire n’y verrait que du feu
 ou pas.<

je ne supporte pas mon mec quand il a bu