Lemouton noir de Jean-Pierre Moscardo Sortie le 26 septembre 1979. LE PIÈGE À CONS de Jean-Pierre Mocky Sortie le 19 octobre 1979. Le Pull-over rouge de Michel Drach Sortie le 07 novembre 1979. LE TOUBIB de Pierre Granier-Deferre Sortie le 24 octobre 1979. LES BRONZÉS FONT DU SKI de Patrice Leconte Sortie le 21 novembre 1979. Les bronzĂ©s font du ski" est avant tout une comĂ©die rĂ©ussie, un genre oĂč l'excellence est rare car il est plus difficile de faire rire que de faire pleurer, le pathos n'exigeant pas forcĂ©ment de talent. Alors oui, ce film est moins chic que "L'impossible Mr BĂ©bĂ©" mais il est tout aussi efficace, voire plus car sa grande force est d LesbronzĂ©s (re)font du ski Ă  Val d’IsĂšre, 40 ans aprĂšs le lancement du film VIDEO Jean-Luc Reichmann : une candidate des 12 coups de midi prise en flagrant dĂ©lit de mensonge Le Monde » organise, le dimanche 24 septembre au Théùtre des Bouffes du Nord, un dĂ©bat sur l’humour et la politique en prĂ©sence de Fabrice EbouĂ©, Alex Vizorek et JĂ©rĂ©my Ferrari. Une Castingcomplet du film Les BronzĂ©s font du ski. RĂ©alisateur : Patrice Leconte. Acteurs, actrices : Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel Vay Tiền Nhanh Chỉ Cáș§n Cmnd Nợ Xáș„u. DĂšs la premiĂšre phrase du film, S’il vous plait, Monsieur, le train pour Bourg-Saint-Maurice, c’est oĂč ? C’est pas affichĂ©, lĂ  ! », Jean-Claude Dusse incarnĂ© par Michel Blanc nous immerge dans les grandes problĂ©matiques de production et de gestion d’une prestation de service. Quand un client ne tient pas un rĂŽle conforme aux attentes que l’on peut avoir Jean-Claude se trompe de gare et se retrouve Ă  St. Lazare au lieu de la Gare de Lyon ; l’information en gare semble impropre, le chef de gare est bougon, la prestation de service ne peut pas se dĂ©rouler correctement ! GĂ©nĂ©ralement appelĂ©e marketing des services », la discipline a pris un essor considĂ©rable du fait de la tertiarisation de notre Ă©conomie 77 % du PIB en 2015 mais reste encore insuffisamment enseignĂ©e ou diffusĂ©e dans les entreprises. En ce milieu d’étĂ©, loin de nous l’idĂ©e de dĂ©velopper un discours acadĂ©mique ou d’imposer un schĂ©ma mĂ©thodologique sur le sujet. La perspective de moments propices Ă  la dĂ©tente et le besoin de lĂ©gĂšretĂ© nous incitent plutĂŽt Ă  analyser le marketing des services Ă  l’aide du cultissime Les bronzĂ©s font du ski 1979, Ă©crit par l’équipe du Splendid et rĂ©alisĂ© par Patrice Leconte. Les lignes qui suivent ne nĂ©cessiteront ni Alphachimotripsine ni bandage serrĂ© pour calmer un quelconque mal de tĂȘte tout est trĂšs simple en fait ! Le marketing des services avant l’heure Services compris
 Au premier abord, Les bronzĂ©s font du ski, tout comme son prĂ©dĂ©cesseur Les bronzĂ©s, offre une chronique satirique des vacances de Français moyens. L’analyse sociologique est riche, couvrant des thĂšmes comme le rapport Ă  l’argent, la famille ou les mƓurs dĂ©bridĂ©s. ImmĂ©diatement reviennent en mĂ©moire les visages de l’infatigable sĂ©ducteur dont le surnom Popeye Thierry Lhermitte est prĂ©fĂ©rĂ© Ă  son vĂ©ritable nom Robert Lespinasse ; de JĂ©rĂŽme le mĂ©decin Christian Clavier ; de Gigi la restauratrice Marie-Anne Chazel, ou bien encore de Bernard et Nathalie les nouveaux riches GĂ©rard Jugnot et Josiane Balasko. Sans oublier Jean-Claude Dusse, son indescriptible combinaison de ski jaune et blanche et ses innombrables tentatives de sĂ©duction manquĂ©es ! RevisitĂ© au prisme du management, le film offre une matiĂšre utile au dĂ©cryptage du marketing des services. GĂ©nie de l’écriture ou intuition des artistes, tous les ingrĂ©dients de la servuction » production d’un service sont ainsi prĂ©sentĂ©s Ă  une Ă©poque oĂč la formalisation des savoirs acadĂ©miques dans ce domaine restait encore balbutiante. En France notamment, la structuration de la connaissance sur le marketing des services est l’Ɠuvre des chercheurs Pierre Eiglier et Eric Langeard dont l’ouvrage Servuction, le marketing des services paru en 1987 reste fondateur. Les caractĂ©ristiques d’un service, notamment son intangibilitĂ©, sa pĂ©rissabilitĂ©, son indivisibilitĂ© et sa variabilitĂ© sont ainsi prĂ©sentĂ©es. Le cours de ski que donne Popeye Ă  Madame Schmitt dans les premiĂšres minutes du film illustre ces Ă©lĂ©ments. Quoi de plus intangible en effet qu’une leçon basĂ©e sur les recommandations abstraites du professeur Allez, on suit madame, les skis bien parallĂšles, un dernier petit virage et on va s’arrĂȘter gentiment sur la crĂȘte » ? La leçon est Ă©galement une prestation qui varie, tant du fait des personnes en prĂ©sence que de l’environnement. Ce constat conduit ainsi madame Schmitt Ă  la chute, une luxation et une gifle cinglante, mĂ©thode thĂ©rapeutique imposĂ©e par JĂ©rĂŽme pour dĂ©tourner l’attention de ses patients drĂŽle de façon d’envisager la prestation de service mĂ©dicale ! Client, personnel en contact et infrastructure de service La production d’un service est dĂ©finie comme l’interaction des trois Ă©lĂ©ments principaux les clients, le personnel en contact et le support physique, c’est-Ă -dire l’infrastructure de service. De la qualitĂ© de l’interaction dĂ©pend au fond la qualitĂ© du service perçue par le client. Tout est ainsi en apparence parfait pour Gilbert Bruno Moynot lorsqu’il s’installe dans la crĂȘperie de Gigi. Mais les choses se gĂątent lorsque le client refuse la crĂȘpe Gigi une fine couche de sarrasin saisie dessus-dessous et parsemĂ©e de pĂ©tales de roses tiĂšdes » au profit d’une vulgaire crĂȘpe au sucre. RĂ©volte de la restauratrice, dĂ©saccord entre les parties et, au final, prestation avortĂ©e C’était encore une crĂȘpe au sucre ». TĂ©lĂ©siĂšge maudit. DeuxiĂšme illustration, l’urgence mĂ©dicale au cours de laquelle JĂ©rĂŽme dĂ©couvre que le patient est un cochon, Copain est son nom, souffrant d’anĂ©mie et que les Guillain, paysans locaux, veulent soigner. ColĂšre de JĂ©rĂŽme le mĂ©decin qui avoue son incompĂ©tence pour cette activitĂ© je n’fais pas les bĂȘtes [
] dehors tout ça, allez hop, du balai, qu’ils le bouffent leur cochon ! » Sans oublier la scĂšne de l’arrĂȘt inopinĂ© du tĂ©lĂ©siĂšge. ItinĂ©raire d’une prestation de service ratĂ©e Une information et un encadrement des clients mal assurĂ©s par le personnel en contact, un Jean-Claude Dusse lui-mĂȘme peu au fait des consignes d’utilisation, un tĂ©lĂ©siĂšge dont on arrĂȘte le fonctionnement. Tout ceci mĂšne Ă  la perte d’un consommateur contraint de chanter seul, Ă  tue-tĂȘte et en pleine nuit quand te reverrai-je, pays merveilleux
 » avant de se jeter dans le vide. La promesse de service Les surprises de la multipropriĂ©tĂ©. L’intangibilitĂ© d’un service implique d’une part une grande clartĂ© dans la promesse qui est faite au client et d’autre part le respect des engagements par le prestataire. Dans le film, Nathalie et Bernard Morin semblent ĂȘtre victimes de dysfonctionnements sur ce point. La location de leur appartement opĂ©rĂ©e en Time-Sharing ne leur cause que des dĂ©sagrĂ©ments le 205
 Euh, 205, y a un petit problĂšme, Monsieur ! Oui, les
 les gens d’avant sont encore lĂ _ [
] _Moi, j’ai achetĂ© cet appartement du 15 au 30 ! Si tout le monde dĂ©passe d’une demi-journĂ©e, qu’est-ce qui se passe ? Moi, l’annĂ©e prochaine, je skie en juillet ». Et que dire de la discussion sur le crochet, emplacement de la touche personnelle ? Ce qui est du goĂ»t d’un client ne l’est pas de l’autre. En d’autres termes, le risque est fort sans absence de contrĂŽle de la part d’un prestataire d’arriver Ă  une forte insatisfaction client. Ce risque est exacerbĂ©, Ă  l’image de cette scĂšne, lorsqu’on laisse des clients en situation de co-production ! L’expĂ©rience client Le planter du bĂąton ? L’interaction entre le client, le personnel en contact et l’infrastructure physique rĂ©pond depuis la fin des annĂ©es 80 Ă  la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er une vĂ©ritable expĂ©rience client, autrement dit une expĂ©rience unique, mĂ©morable et sensorielle. Dans ce registre, les hĂ©ros du film sont servis ! Jean-Claude Dusse par exemple devient dĂ©pressif avec les leçons de ski menĂ©es de façon stricte par un vieux moniteur Ca n’va pas, monsieur Dusse ! Ça fait la trentiĂšme fois que j’vous l’dis ! Le planter du bĂąton ne marche pas du tout ! Mettez-vous bien ça dans la tĂȘte et votre bonnet par-dessus » ! Sa dĂ©ception de l’expĂ©rience est d’autant plus grande qu’à la place d’un vin chaud, il avait envisagĂ© une opĂ©ration sĂ©duction d’une charmante monitrice le numĂ©ro 12, Anne Laurencin » malheureusement souffrante. Popeye embarque ses amis vacanciers dans une randonnĂ©e hors-piste avec dĂ©pose en hĂ©licoptĂšre sans avoir les compĂ©tences insuffisantes Ben, justement, j’m’étais trompĂ© une fois ! Fallait aller Ă  gauche, et puis j’avais Ă©tĂ© Ă  droite ! Ou alors, alors l’inverse, j’en sais rien ». Au final, l’équipe se perd et vit une expĂ©rience dĂ©plorable renforcĂ©e par un sĂ©jour obligĂ© chez les paysans locaux, la dĂ©gustation de foune restes de fromage macĂ©rĂ©s au gras et Ă  l’alcool de bois et d’alcool local. Indubitablement, ces quelques lignes invitent Ă  revoir Les bronzĂ©s font du ski » d’un Ɠil diffĂ©rent. Chapeau Ă  l’équipe du Splendid pour cet apprentissage inattendu. Vous pouvez maintenant demander Ă  Popeye si vous ĂȘtes assez forts pour en apprendre plus en marketing des services. Il vous rĂ©pondra tranquille ». Et nous de vous entendre conclure j’suis partant » ! Patrice Leconte Ă©voque la scĂšne de repas chez les paysans dans le film culte. Patrice Leconte a dĂ©taillĂ© dans PremiĂšre la crĂ©ation de la fameuse scĂšne du repas chez les paysans dans Les BronzĂ©s font du ski, Ă  base de fougne et de liqueur d’échalote. Le film culte est rediffusĂ© ce soir sur TF1. ZĂ©ro improvisation "Avec mes amis du Splendid, il n’y a jamais d’improvisation. Ca tient au fait qu’ils viennent du cafĂ©-théùtre oĂč ils maitrisaient leurs spectacles de A Ă  Z. Les dialogues, le contexte et les intentions sont tous respectĂ©s mais le jeu mĂȘme des acteurs est Ă©videmment intuitif. Quand il est Ă©crit Gigi boit un coup et s’écroule », ça ne prĂ©sage pas de la maniĂšre dont Marie-Anne Chazel va tomber. Peu de prises Ă©galement ils savent qu’ils peuvent tout donner immĂ©diatement. Quand tu vois Jugnot s’étrangler avec la liqueur et devenir tout rouge, tu n’as pas le sadisme de lui demander de la refaire
" Dans la bergerie "On a un peu trichĂ© on n’est pas dans un chalet de haute altitude mais dans une espĂšce de bergerie de village. On l’a choisie parce qu’elle Ă©tait crade ! rires Ce genre de dĂ©cor exigu oblige Ă  cadrer un ou deux personnages Ă  la fois, puis Ă  passer Ă  un autre. Il ne faut rien rater. Quand on est sur Blanc et Lhermitte, les autres jouent mezzo pour s’économiser et je sens bien sur l’instant qu’il faudra tout faire pour retrouver la dynamique de comĂ©die insufflĂ©e par les premiers." LumiĂšre spartiate "On a tournĂ© la scĂšne en une journĂ©e. Jean-François Robin faisait l’éclairage et le cadre. Il avait installĂ© une lumiĂšre presque unique au-dessus de la table, ce qui permettait de tourner vite, un peu dans tous les axes -correspondant, grosso modo, aux quatre coins de la table. On ne filmait bien sĂ»r qu’à une camĂ©ra, c’était trĂšs rare Ă  l’époque de procĂ©der autrement. De toute façon, c’est la meilleure mĂ©thode quand on change d’axe, la lumiĂšre doit ĂȘtre modifiĂ©e Ă©galement." Qui sont les paysans ? "Il n’était pas question pour moi de prendre des acteurs amateurs. Il y a toujours le risque d’ĂȘtre Ă  cĂŽtĂ© de la plaque. Je voulais en revanche des comĂ©diens qui aient un accent et qu’on ne connaisse pas. À l’arrivĂ©e, j’ai choisi deux Suisses le barbu s’appelle Maurice Aufair et celui qui a un bonnet, Jean-Marc Henchoz. Ce dernier dĂ©cĂ©dĂ© en 2011, ndlr est ensuite devenu producteur. Quatre ans aprĂšs, il montera notamment le dernier film de Robert Bresson, L’Argent. Amusant, non ?" Recette de la fougne "La fougne, c’était visuellement horrible mais, en vrai, trĂšs mangeable ! Il s’agissait de mĂ©lasse, faite Ă  base de sucre roux mĂ©langĂ© Ă  des petits bouts de biscotte pour lui donner son aspect grumeleux. Quant Ă  la fameuse liqueur d’échalote, c’était de l’eau. On avait introduit un crapaud en plastique Ă  l’intĂ©rieur de la bouteille en dĂ©coupant proprement le cul qu’on avait ensuite recollĂ©. Je ne me souviens plus si les acteurs ont vraiment bu ce contenu-lĂ . Les plans de coupe incitent Ă  penser que non
" Des chiffres et des lettres "La phrase, il y avait Blumaise en huit lettres », que dit un des paysans en regardant Des Chiffres et des Lettres est le genre de blague que j’affectionne. On ne la remarque pas forcĂ©ment Ă  la premiĂšre vision, elle vient un peu par en-dessous. En comĂ©die, il ne faut pas tout mettre au premier plan, sinon on se heurte Ă  une surabondance de biens." Fous rires "Les membres du Splendid sont trĂšs rieurs, tout comme moi. Avec la monteuse NoĂ«lle Boisson, on gardait volontiers les amorces de rire en fin de prise qui Ă©tablissaient une sorte de complicitĂ© avec le public. J’ai toujours trouvĂ© ça trĂšs plaisant. On en voit quelques exemples fugitifs dans la scĂšne, surtout avec Lhermitte et Clavier. Sur le plateau, on Ă©tait tout le temps Ă  deux doigts de l’explosion. Jean-François Robin, que j’observais du coin de l’Ɠil, Ă©tait au bord des larmes Ă  chaque prise."Bande-annonce des BronzĂ©s font du ski, avec Thierry Lhermitte, Josiane Balasko, Christian Clavier, GĂ©rard Jugnot, Marie-Anne Chazel et Michel Blanc Lecteur Koreus YouTube DĂ©faut - Code embed John Wayne, aidĂ© par les meilleurs tireurs de l'ouest, se bat contre les BUGS créés par Paul Verhoeven dans Starship Troopers ! Far Alamo est un mashup des films The Alamo 1960 et 2004, El Chuncho, Pour une poignĂ©e de dollars, Et pour quelques dollars de plus, Le Bon, la Brute et le Truand, Les Sept Mercenaires 1960, Mon nom est Personne, Il Ă©tait une fois dans l'Ouest et les Starship Troopers. Une vidĂ©o rĂ©alisĂ©e par Fabrice Mathieu. alamo alien attaque film fort mashup starship troopers western La mort du producteur de cinĂ©ma suisse Jean-Marc Henchoz Ă  l'Ăąge de 69 ans vient d'ĂȘtre annoncĂ©e par le site suisse RTN. Il est dĂ©cĂ©dĂ© des suites d'une opĂ©ration du coeur. En 1979, cet homme, originaire du Pays-d'Enhaut, issu d'une famille de paysans, Ă©tait apparu dans la comĂ©die culte Les BronzĂ©s font du ski, oĂč il n'est autre que le montagnard qui vient Ă  la rescousse des skieurs perdus et leur offre une nourriture... plus mĂ©morable que savoureuse. MalgrĂ© ce moment mythique, c'est en tant que producteur que Jean-Marc Henchoz fera carriĂšre, produisant environ 80 films pour le grand ou le petit Ă©cran. Co-producteur de L'Argent de Robert Bresson avec feu Daniel Toscan du Plantier en 1983, il a travaillĂ© comme producteur associĂ© sur Journal Intime des affaires en cours de Philippe Harel. Il a connu le succĂšs en Ă©tant co-producteur avec Jacques Perrin de Microcosmos, Himalaya - l'enfance d'un chef, Le Peuple migrateur et OcĂ©ans, prĂ©cise quelques annĂ©es, Jean-Marc Henchoz s'Ă©tait retirĂ© en France, en Charente-Maritime, et avait laissĂ© la direction des productions JMH Ă  son fils Matthieu, prĂ©cise Le Film français. Jeudi 21 novembre 2019 Ă  1003 - Mis Ă  jour le jeudi 21 novembre 2019 Ă  1436 cuvĂ©e 40 ans des bronzĂ©s © Radio France - Pascale Lorens Yves Rousset Rouard a produit les BronzĂ©s 1 et 2, le film "les BRONZES FONT DU SKI " Ă©tait sorti le 22 Novembre 1979 ! bronzĂ©s cuvĂ©e 40 ans © Radio France - pascale lorens Dans son domaine de la citadelle, Ă  MĂ©nerbes, il sort une cuvĂ©e spĂ©ciale 40 ans des bronzĂ©s font du ski, qui fĂȘtent leurs 40 ans cette annĂ©e. yves rousset rouard michel meissonnier et pascale lorens © Radio France - pascale lorens le chef Michel Meissonnier nous a servi une crĂšme brĂ»lĂ©e au foie gras et truffes. CREME BRULEE FOIE GRAS TRUFFES © Radio France - pascale lorens Yves Rousset Rouard et Bill Gates - . Yves Michel et Pascle © Radio France - pascale lorens

affiche du film les bronzés font du ski