Unhomme qui fume c’est plus sain crĂ©ation collective de BAJOUR, mise en scĂšne Leslie Bernard . 16 > 17.12.2017 . Hors les murs - Ă  la GaĂźtĂ© Lyrique, Paris 3e ; dans le cadre du Festival Impatience. complet . Pas Parailleurs, il est membre crĂ©ateur du Collectif Bajour, avec lequel il joue dans Un Homme Qui Fume C’est Plus Sain (Mettre en scĂšne 2016 ; Festival Impatience 2017 prix des lycĂ©ens; Avignon 2018), A l'Ouest (mes Leslie Bernard et Matthias Jacquin), Me Voici (rĂ©alisĂ© par Matthias Jacquin) et l’Ile (mes Hector Manuel- Avignon 2021). Jules Meary - Metteur en scĂšne, co Un homme qui fume c'est plus sain", c’est l’histoire d’une rĂ©union de famille Ă  l’occasion du dĂ©cĂšs du pĂšre. Mais c’est une piĂšce revigorante PrĂšsde 21 000 centenaires vivent en France, soit vingt fois plus que dans les annĂ©es 1960-1970. Et, Ă  l’avenir, ce nombre devrait s’envoler et atteindre 198 645 en 2060 (source : Insee). Cest un vrai plaisir que d'avoir un professionnel qui partage avec vous sa passion du bien faire pour de bons produits. Ce n'est que ce que je recherche aujourd'hui. Chaque euro dĂ©pensĂ© doit gĂ©nĂ©rer une part de plaisir. Ici c'est le cas. Toutefois a dĂ©conseiller aux amateurs de vinaigrettes et sauces allĂ©gĂ©es et d'eau minĂ©rales ! Allez Vay Tiền TráșŁ GĂłp 24 ThĂĄng. Dates Âge conseillĂ© Tout public, accessible Ă  partir de 14 ans - Théùtre - BAJOUR / Leslie Bernard Une comĂ©die portĂ©e par huit excellents comĂ©diennes ! Avec humour et habilitĂ©, cette piĂšce nous raconte les retrouvailles de sept frĂšres et sƓurs dans la maison familiale, lors des obsĂšques de leur pĂšre. Étrangers bien que frĂšres et sƓurs, cette fratrie s’est perdue de vue pendant plusieurs annĂ©es. Ils rĂ©apprennent peu Ă  peu Ă  se connaĂźtre, se rappellent les bons et les mauvais souvenirs, dĂ©voilent secrets et non-dits, jusqu’au point de rupture
 Comment se parler aprĂšs tant d’annĂ©es d’absence ? Comment se souvenir ? Et surtout, qu’est-ce qui les a sĂ©parĂ©s pendant tout ce temps ? En s’intĂ©ressant Ă  ces secrets qui constituent les liens familiaux, BAJOUR, collectif virtuose et talentueux, signe une comĂ©die sociĂ©tale satirique. L’accueil de ce spectacle bĂ©nĂ©ficie du dispositif de soutien Ă  la diffusion Avis de TournĂ©es » portĂ© par l’ODIA Normandie, la RĂ©gion Pays de la Loire et Spectacle vivant en Bretagne. Portfolio Dates / Horaires jeudi 9 avril 2020 / 20h30 Une crĂ©ation de BAJOUR Mise en scĂšne Leslie Bernard Collaboration artistique Matthias Jacquin CrĂ©ation lumiĂšre Julia Riggs CrĂ©ation sonore Louis Katorze ScĂ©nographie Hector Manuel Construction dĂ©cor et rĂ©gie gĂ©nĂ©rale François AupĂ©e Avec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, AdĂšle Zouane Production BAJOUR / Coproduction Théùtre National de Bretagne / Soutien Ville de Rennes / Avec le soutien de la SPEDIDAM / Production/diffusion CPPC - Centre de Production des Paroles Contemporaines Accueil > Un homme qui fume c'est plus sain Retour à la selection Théùtre. Création collective de Bajour, mise en scÚne Leslie Bernard. Une réunion de famille. Sept frÚres et sÅ“urs se retrouvent pour les obsÚques du pÚre. Il y a ceux qui ne sont pas revenus chez eux depuis longtemps, et ceux qui sont restés. Le moment de la disparition, des retrouvailles, des souvenirs et de la re-connnaisance. Calendrier Dates Jeudi 13 janvier 2022 à 20h00 Localisation Lieu Carré Sévigné, 1 rue du Bac 35510 Cesson-Sévigné Prix De 21ñ‚¬ à 18ñ‚¬ Réserver Géolocalisation Google map OÃÂč trouver ce spectacle ? Une crĂ©ation de BAJOUR, Leslie Bernard Festival d’Avignon off 2018 La Manufacture Voici un parfait exemple de crĂ©ation collective, dans la forme comme dans l’esprit. L’objet s’y prĂȘte singuliĂšrement c’est la thĂ©matique inĂ©puisable de la rĂ©union de famille, qui connaĂźt un vrai succĂšs sur la scĂšne Lagarce comme Ă  l’écran X. Dolan. A ceci prĂšs qu’il ne s’agit pas du retour d’un seul dans le creuset familial, mais du retour de quatre frĂšres dans une famile dispersĂ©e de sept enfants. or, qu’est-ce qui rĂ©unit les familles?? Les mariages et les enterrements. On se retrouve donc pour enterrer le pĂšre. Le pĂšre, c’est donc le grand absent, et c’est aussi le soleil autour duquel gravite toute la fratrie. D’oĂč le dĂ©sarroi du clan et la remise en cause de tous les rapports familiaux. Ajoutons qu’il y a plus absent que l’absent le pĂšre est certes mort, mais on ne parle que de lui, tandis que la mĂšre est non seulement totalement absente mais jamais nommĂ©e, pas mĂȘme une allusion! Juste un dĂ©ni total, et on comprend que l’univers familial qui semble s’organiser autour de la figure du pĂšre, tourne en fait autour d’un trou noir, la mĂšre. Mais le jour des retrouvailles, c’est aussi celui du bilan, voire du rĂšglement de comptes. D’oĂč un dialogue et une suite de scĂšnes glissant inĂ©luctablement du comique au dramatique. c’est la vĂ©ritĂ© des relations qui pointe Ă  travers le dĂ©filĂ© des souvenirs on est heureux de se remĂ©morer ensemble, on regarde les photos, et insensiblement les commentaires tournent Ă  l’aigre et dĂ©voilent ce qu’on n’avait jamais osĂ© dire ou penser. Terrain glissant que celui des souvenirs supposĂ©s communs, mais qui cachent des points de vue divergents pour ne pas dire franchement hostiles. Mais qu’est-ce qui est le plus funeste dans la fratrie, les haines rances ou l’amour inavouable? Peu Ă  peu on se dirige vers le coeur nĂ©vralgique de la fratrie, l’inceste qui fait imploser tous les rapports que l’on croyait installĂ©s. Il fallait donc un travail collectif solide pour faire vivre un tel drame sur le plateau. Ce fut donc une oeuvre commune Ă©crite Ă  huit, Ă  grand renfort d’improvisation, d’exploration, et de mise en commun d’idĂ©es et de rĂ©fĂ©rences Eribon, Lagarce, Bourdieu, Nizan, et de participation du public Ă  cet Ă©gard, le dĂ©but du spectacle est savoureux. C’est en cela que ce spectacle reflĂšte la tendance profonde de nos dĂ©mocraties contemporaines, dans ce qu’elles peuvent porter de plus vivace. On le mesure mieux quand on compare cette piĂšce au spectacle proposĂ© sur la mĂȘme scĂšne par le metteur en scĂšne chinois Meng Jinghui et sa troupe ici un collectif obĂ©issant Ă  merveille, comme une grande machine, Ă  un projet individuel, lĂ  une vraie crĂ©ation collective oĂč chacun est non seulement directement concernĂ© mais est en plus crĂ©ateur. A la favuer de cette comparaison , il apparaĂźt en outre que ce qui intĂ©resse au premier chef le public occidental ce sont les affres des relations familiales oĂč on cultive le non-dit et les ressassements, tandis que le théùtre des annĂ©es 30 et jusque 1970 s’intĂ©ressait surtout au destin collectif des sociĂ©tĂ©s et aux fresques historico-politiques. On ne sera donc pas Ă©tonnĂ© des glissements de registres, des variations de ton et de rythme,des accents psychalanytiques, du jaillissement des rĂ©pliques et de l’humour grinçant typique de l’intelligence collective. Il y a des scĂšnes d’anthologie je ne mentionnerai que celle oĂč les sept frĂšres et soeurs une des deux soeurs a dĂ©finitivement rompu avec le clan jouent au ralenti les actions les plus spectaculaires du match que l’équipe de France a disputĂ© contre le BrĂ©sil en 1998. C’était d’autant plus savoureux au lendemain du soir oĂč l’équipe de France venait de se qualifier pour la demi-finale de la coupe du monde en Russie. On rit jaune ou on rit de bon coeur, on souffre avec eux, ils sont attachants, fragiles, Ă©patants et tellement vrais! Impossible que chacun n’y retrouve pas des Ă©lĂ©ments de sa propre histoire familiale. On peut ĂȘtre certain que le spectacle fera une belle carriĂšre si on l’a ratĂ© Ă  Avignon, on pourra d’ores et dĂ©jĂ  le retouver le 18 dĂ©cembre Ă  l’espace 1789 de Saint-Ouen. MichĂšle Bigot jeudi 10 octobre 2019 2146 Écrit par Julie Cadilhac Par Julie Cadilhac - Sept frĂšres et soeur se retrouvent dans la maison familiale pour les obsĂšques de leur pĂšre. Retrouvailles compliquĂ©es d’une fratrie dĂ©chirĂ©e par la disparition d’une soeur quelques annĂ©es auparavant. Maladresse, gĂȘne et accolades polies ou Ă©mues de l'arrivĂ©e. ComplicitĂ© qui revient peu Ă  peu et provoque un basculement enfantin dans des souvenirs heureux, dans des jeux pratiquĂ©s alors
et puis instants oĂč la rĂ©alitĂ© mord avec violence l’insouciance qui voulait s’installer c’est tout cela Un homme qui fume c’est plus sain ». BenoĂźt, le frĂšre jumeau d’AnaĂŻs la soeur disparue, brut de dĂ©coffrage au possible et Ă  la sensibilitĂ© cachĂ©e derriĂšre sa grosse barbe d’ours mal lĂ©chĂ© et qui garde la paix » ; Maxime le thĂ©sard intello aux lunettes qui donnent une consistance ; Marie la soeur malmenĂ©e dans cette fratrie de garçons, qui se dĂ©finit amĂšrement comme la pauvre fille » qui a ratĂ© sa vie ; Vincent l’écorchĂ© et son anecdote dĂ©sopilante de la camionnette jaune, JĂ©rĂŽme le sensible et que l’on imagine assis sur son sac de terreau en train de fredonner un air des Beatles, Elias le discret, Morgan le plus jeune frĂšre
Ensemble, ils ont envie de retourner dans cette parenthĂšse protĂ©gĂ©e de l’enfance, de se redisputer le tour dans la bassine, de se raconter les rĂȘves
seulement voilĂ , le temps a fait son oeuvre et Ă  la table d’antan, les plats s’avalent avec l’hystĂ©rie des douleurs muettes. La qualitĂ© de cette piĂšce rĂ©side non seulement dans l’écriture dramaturgique qui mĂȘle aux drames des parenthĂšses salvatrices de rire mais aussi dans la prĂ©sence constante des fantĂŽmes que sont le pĂšre et la soeur par de menus dĂ©tails qui pĂšsent comme un couvercle. L’histoire se vit comme un Ă©pluchage de photographies ; on rit, on est Ă©mu mais on grince des dents souvent. Les Ă©motions ici ne cessent de faire le yoyo. Tous trĂšs justes, Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, AdĂšle Zouane incarnent avec sensibilitĂ© cette fratrie douloureuse. Lorsque la poudre blanche constelle leurs cheveux de rides capillaires, on comprend que les cicatrices ne s’effaceront pas mais la cabane en parpaing, objet de consolation pour Morgan, prend des airs de cercueil autour duquel l’on offre une derniĂšre mĂ©lopĂ©e au pĂšre...avant de repartir chacun oublier de son cĂŽtĂ© qu'on n'arrive pas Ă  pardonner. Un homme qui fume c’est plus sainUne crĂ©ation de BajourMise en scĂšne Leslie BernardCollaboration artistique Matthias JacquinCrĂ©ation LumiĂšres Julien RiggsCrĂ©ation sonore Louis KatorzeScĂ©nographie Hector ManuelConstruction dĂ©cor et rĂ©gie gĂ©nĂ©rale François AupĂ©eAvec Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Hector Manuel, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, AdĂšle ZouaneDurĂ©e 1h30© Nicolas Joubard Dates et lieux des reprĂ©sentations - À 11H50 DU 6 AU 26 JUILLET 2018 - RELÂCHES 12, 19 JUILLET - Ă  LA MANUFACTURE 2 bis, rue des Ă©coles 84000 - Avignon - FESTIVAL AVIGNON OFF 2018- Le 19 octobre 2018 au Théùtre Jean Arp - Clamart 92- Le 18 dĂ©cembre 2018 Ă  l’Espace 1789 - Saint-Ouen 93- Le 11 janvier 2019 au Rayon Vert - FĂ©camp 76- Le 31 janvier 2019 au PĂŽle Culturel d’Alfortville 94 - 9 octobre 2019 - BAJOUR - L’üle - Les Plateaux du Groupe des 20 IDF - Cachan - 16h30 - 10 et 15 octobre 2019 - Théùtre de Cornouaille - Quimper 29 - 17 octobre 2019 - L’Espace Marcel CarnĂ© - SAINT MICHEL SUR ORGE 91 - 20h30 - 19 novembre 2019 - DĂŽme de Gascogne - AUCH 32 - 21h00 - 21 et 22 novembre 2019 - Théùtre Daniel Sorano - Toulouse 31 - 20h30 - 26 novembre 2019 - Espace d’Albret - Nerac 47 - 20h30 - 29 novembre 2019 - Le Cargo - SEGRE-EN-ANJOU-BLEU 49 - 20h30 - 28 et 29 janvier 2020 - La Passerelle - Saint-Brieuc 22 - 20h00 - 6, 7, 8 fĂ©vrier 2020 - Ollioules - 20h30 - 11 fĂ©vrier 2020 - Théùtre du Briançonnais ADAC / CCB - Briançon 05 - 19h00 - 27 fĂ©vrier 2020 - Espace Carpeaux - Courbevoie 92 - 3 mars 2020- Théùtre GĂ©rard Philippe - AMIENS 80 - 19h30 - 5 et 6 mars 2020 - Le Tivoli - MONTARGIS 45 - 20h45- 17 mars 2020 - Grand Théùtre-Grande Salle - Albi 81 - 2 reprĂ©sentations - 19 mars 2020 - TournĂ©e DĂ©centralisĂ©e - MJC Rodez - Rodez 12 - 20h30 - 21 mars 2020 - Terrasse du Puy - Figeac 46 - 25 et 26 mars 2020 - Tournai - 27 et 28 mars 2020 - Théùtre en Bois - Thionville 57 - 31 mars 2020- Théùtre de l’HĂŽtel de Ville - Saint BarthĂ©lĂ©my d’Anjou 49 - 20h30 - 2 avril 2020- Théùtre des Bergeries - NOISY LE SEC 93 - 20h30 - 9 avril 2020 - Théùtre du Pays de Morlaix - MORLAIX 29 - 20h30 - 23 et 24 avril 2020 - Montpeliier 34 - 28 et 29 avril 2020 - L’Espal - Le Mans 72 - 14 mai 2020 - Centre Marius Staquet Salle Raymond Devos - Mouscron 77 - 20h00 Sept frĂšres et sƓurs se retrouvent Ă  l’occasion des obsĂšques du pĂšre
 Ils se sont perdus de vue depuis longtemps. Il y a ceux qui sont partis et ceux qui sont restĂ©s, sommĂ©s de revenir pour la cĂ©rĂ©monie. Comment se parler aprĂšs tant d’annĂ©es d’absence ? Comment se souvenir et se reconnaĂźtre ? Et surtout, qu’est-ce qui les a Ă©loignĂ©s pendant tout ce temps ? Une fratrie joyeuse et vivante, dĂ©chirĂ©e par les non-dits et un obscur secret. Cette crĂ©ation collective forgĂ©e Ă  partir des propositions de chacun, improvisations, rĂ©fĂ©rences Retour Ă  Reims de Didier Eribon, La MisĂšre du monde de Bourdieu, et des textes de Lagarce 
, se nourrit de prĂ©occupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Dans un tourbillon de parole joueuse, les comĂ©diens formĂ©s Ă  l’école du Théùtre National de Bretagne dĂ©ploient un jeu incarnĂ©, brĂ»lant, physique. Une poignante tragĂ©die familiale entre rĂ©alisme et onirisme. Prix des LycĂ©ens au Festival Impatience 2017. Saison 19/20 jeudi 21, vendredi 22 novembre ‱ 20h30 Théùtre SUPERNOVA 4 Leslie Bernard / Collectif Bajour Théùtre Sorano DurĂ©e 1h30 dossier de presse Sept frĂšres et sƓurs se retrouvent Ă  l’occasion des obsĂšques du pĂšre
 Ils se sont perdus de vue depuis longtemps. Il y a ceux qui sont partis et ceux qui sont restĂ©s, sommĂ©s de revenir pour la cĂ©rĂ©monie. Comment se parler aprĂšs tant d’annĂ©es d’absence ? Comment se souvenir et se reconnaĂźtre ? Et surtout, qu’est-ce qui les a Ă©loignĂ©s pendant tout ce temps ? Une fratrie joyeuse et vivante, dĂ©chirĂ©e par les non-dits et un obscur secret. Cette crĂ©ation collective forgĂ©e Ă  partir des propositions de chacun, improvisations, rĂ©fĂ©rences Retour Ă  Reims de Didier Eribon, La MisĂšre du monde de Bourdieu, et des textes de Lagarce 
, se nourrit de prĂ©occupations intimes et d’autres plus sociales et politiques. Dans un tourbillon de parole joueuse, les comĂ©diens formĂ©s Ă  l’école du Théùtre National de Bretagne dĂ©ploient un jeu incarnĂ©, brĂ»lant, physique. Une poignante tragĂ©die familiale entre rĂ©alisme et onirisme. Prix des LycĂ©ens au Festival Impatience 2017. Une crĂ©ation de Bajour ‱ Mise en scĂšne Leslie Bernard ‱ Collaboration artistique Matthias Jacquin ‱ CrĂ©ation lumiĂšre Julia Riggs ‱ CrĂ©ation sonore Louis Katorze ‱ ScĂ©nographie Hector Manuel ‱ Construction dĂ©cor et rĂ©gie gĂ©nĂ©rale François AupĂ©e ‱ Avec Victor AssiĂ©, Leslie Bernard, Julien Derivaz, Matthias Jacquin, Joaquim Pavy, Georges Slowick, Alexandre Virapin, AdĂšle Zouane. Production Bajour Coproduction Théùtre National de Bretagne. Soutien Ville de Rennes. Ce spectacle bĂ©nĂ©ficie du soutien financier de Spectacle Vivant en Bretagne et de la SPEDIDAM.

un homme qui fume c est plus sain